Ce troisième Trail des Sangliers, organisé par les Fouladous de Balaruc-les-Bains a eu beaucoup de chance d’avoir eu le temps finalement ensoleillé qui a régné ce dimanche matin 30 mars. Il soufflait bien un petit vent frais mais à côté du déluge de pluie et de froid de l’année précédente, rien à voir.
440 inscrits étaient au rendez-vous. Un record sûrement pour cette 3è édition. C’est que la mini- cure gratuite aux thermes de Balaruc,, incluse dans le prix de l’engagement, recueille son succès à chaque fois et cela commence à se savoir. Alors, le bouche à oreille aidant….
Mais il y a aussi ce parcours, remarquable, du début, jusqu’à la fin, qui ne peut que plaire, même si j’ai entendu deux femmes devant moi dire « qu’il était plus dur qu’à Villeveyrac » (pour la Randonnée des Senteurs).
Après un bout de route, on arrive en effet au pied de la Gardiole au rond point du moto-cross de la Cible, on longe les vignes jusqu’au 3è kilomètre et aussitôt, c’est le premier « mur » du domaine de la Coste(appelons-le comme cela du fait qu’il se situe au-dessus du domaine viticole qui va bientôt accueillir le site de la Coopérative du Muscat de Frontignan). Là, le peloton s’étire et c’est un par un que l’on monte vers un premier sommet.
Ah, ce mur de la Coste! Je le connaissais bien pourtant....
Avant de descendre sur des monotraces caillouteux aux senteurs de thym fleuri, entre chênes verts qui rappellent leur présence piquante si on laisse traîner une main ou une cuisse contre eux…Et ça remonte et ça redescend, sur des pierres roulantes parfois, et c’est le bonheur quand on arrive sur un sentier terreux plat, qui serpente dans une pinède, comme celle qui est à trois kilomètres de l’arrivée des 15km. Les 31km ont la même chose, mais sur deux fois plus long.
Mais tout cet ensemble de paysages est parfaitement vivable quand c’est sec et qu il ne pleut pas, comme dimanche .
Ce que j’aimerais signaler pour cette course c’est d’abord l’extraordinaire précision du fléchage, jamais pris en défaut et surtout ces bénévoles souriants et pleins d’allégresse pour encourager les coureurs, même les lointains anonymes comme moi dans la 200è place. Ce sont des gens qui acceptent de « se les geler » tout un dimanche matin, en faisant le planton –au risque de prendre racine ?!- en plein vent, au beau détour d’un chemin. Il faudra que j’essaie un jour….Mais je préfère encore, pendant que c’est possible, être en action sur la piste…. !!!!
De telles rencontres sur le parcours, ça requinque!
Peu d’entraînement, des jambes lourdes, un souffle un peu court, 0,69 de glycémie au lever, un « re
bond » qui l’a propulsée à 5,25g( du jamais vu chez moi) à l’arrivée après la prise en course de 2 pastilles de dextrose et de Coca et de jus d’orange à l’arrivée : c’est une situation nouvelle qui a fait un résultat assez modeste ce dimanche.
Mais le plaisir aura été trouvé juste avant le départ où, en tant que (nouveau) frontignanais, j’ai retrouvé une dizaine de mes copains de club, ceux de Maguelone Jogging, de Villeneuve-lès-Maguelone, les copains de mes débuts, avec lesquels j’ai renoué cette année, après mon départ de Villeneuve, et qui étrennaient leurs beaux nouveaux maillots de club à manches longues, des maillots arrivés grâce aux aides des généreux et fidèles soutiens du club. Je voudrais aussi saluer l’excellente place dans les cent premiers de ce tout bon Christian Martinez, revenu lui aussi au club après avoir participé à son avènement et surtout à des épreuves du championnat du monde de body-building où il a glané de nombreux titres. Ils ne doivent pas être très nombreux, les hommes de sa trempe (et de sa carrure !), à finir un tel trail à la 86è place, comme 5è V2 (et 1er du club)!
Christian Martinez, anien vice champion du monde de body-building, 6ème à partir de la gauche
Pour compléter le tableau de l’organisation des Fouladous, signalons aussi la pasta- party du samedi soir à la Maison du Peuple, qui a rassemblé une centaine de personnes ainsi que le généreux buffet- sandwiches- canapés de l’arrivée, qui a connu aussi un beau succès.
Les Sangliers ? Une épreuve sans doute appelée à monter dans la hiérarchie des belles épreuves de traiL.
440 inscrits étaient au rendez-vous. Un record sûrement pour cette 3è édition. C’est que la mini- cure gratuite aux thermes de Balaruc,, incluse dans le prix de l’engagement, recueille son succès à chaque fois et cela commence à se savoir. Alors, le bouche à oreille aidant….
Mais il y a aussi ce parcours, remarquable, du début, jusqu’à la fin, qui ne peut que plaire, même si j’ai entendu deux femmes devant moi dire « qu’il était plus dur qu’à Villeveyrac » (pour la Randonnée des Senteurs).
Après un bout de route, on arrive en effet au pied de la Gardiole au rond point du moto-cross de la Cible, on longe les vignes jusqu’au 3è kilomètre et aussitôt, c’est le premier « mur » du domaine de la Coste(appelons-le comme cela du fait qu’il se situe au-dessus du domaine viticole qui va bientôt accueillir le site de la Coopérative du Muscat de Frontignan). Là, le peloton s’étire et c’est un par un que l’on monte vers un premier sommet.
Ah, ce mur de la Coste! Je le connaissais bien pourtant....
Avant de descendre sur des monotraces caillouteux aux senteurs de thym fleuri, entre chênes verts qui rappellent leur présence piquante si on laisse traîner une main ou une cuisse contre eux…Et ça remonte et ça redescend, sur des pierres roulantes parfois, et c’est le bonheur quand on arrive sur un sentier terreux plat, qui serpente dans une pinède, comme celle qui est à trois kilomètres de l’arrivée des 15km. Les 31km ont la même chose, mais sur deux fois plus long.
Mais tout cet ensemble de paysages est parfaitement vivable quand c’est sec et qu il ne pleut pas, comme dimanche .
Ce que j’aimerais signaler pour cette course c’est d’abord l’extraordinaire précision du fléchage, jamais pris en défaut et surtout ces bénévoles souriants et pleins d’allégresse pour encourager les coureurs, même les lointains anonymes comme moi dans la 200è place. Ce sont des gens qui acceptent de « se les geler » tout un dimanche matin, en faisant le planton –au risque de prendre racine ?!- en plein vent, au beau détour d’un chemin. Il faudra que j’essaie un jour….Mais je préfère encore, pendant que c’est possible, être en action sur la piste…. !!!!
De telles rencontres sur le parcours, ça requinque!
Peu d’entraînement, des jambes lourdes, un souffle un peu court, 0,69 de glycémie au lever, un « re
bond » qui l’a propulsée à 5,25g( du jamais vu chez moi) à l’arrivée après la prise en course de 2 pastilles de dextrose et de Coca et de jus d’orange à l’arrivée : c’est une situation nouvelle qui a fait un résultat assez modeste ce dimanche.
Mais le plaisir aura été trouvé juste avant le départ où, en tant que (nouveau) frontignanais, j’ai retrouvé une dizaine de mes copains de club, ceux de Maguelone Jogging, de Villeneuve-lès-Maguelone, les copains de mes débuts, avec lesquels j’ai renoué cette année, après mon départ de Villeneuve, et qui étrennaient leurs beaux nouveaux maillots de club à manches longues, des maillots arrivés grâce aux aides des généreux et fidèles soutiens du club. Je voudrais aussi saluer l’excellente place dans les cent premiers de ce tout bon Christian Martinez, revenu lui aussi au club après avoir participé à son avènement et surtout à des épreuves du championnat du monde de body-building où il a glané de nombreux titres. Ils ne doivent pas être très nombreux, les hommes de sa trempe (et de sa carrure !), à finir un tel trail à la 86è place, comme 5è V2 (et 1er du club)!
Christian Martinez, anien vice champion du monde de body-building, 6ème à partir de la gauche
Pour compléter le tableau de l’organisation des Fouladous, signalons aussi la pasta- party du samedi soir à la Maison du Peuple, qui a rassemblé une centaine de personnes ainsi que le généreux buffet- sandwiches- canapés de l’arrivée, qui a connu aussi un beau succès.
Les Sangliers ? Une épreuve sans doute appelée à monter dans la hiérarchie des belles épreuves de traiL.