Actualités
L’E.I.D., protectrice des zones humides
A l’occasion de la célébration des « Journées Mondiales des Zones Humides en Méditerranée », l’E.I.D. (Entente Interdépartementale de Démoustication) était de retour sur ses terres de prédilection des anciens salins, avec Virginie, la jeune guide, toujours prompte à emmener ses visiteurs sur les chemins de la protection de ces lieux magiques.
Et ces visiteurs, ils étaient une trentaine ce mardi, désireux de goûter à cette découverte pédagogico- sportive de ces zones de transition entre terre et mer qui abritent quantités de richesses en matière de flore, comme la « sansouire » avec saladelle, soude, salicorne ou de faune avec ses canards souchets, avocettes, hérons cendrés, observables à la longue vue.
Et ces visites organisées sont autant de prises de conscience qu’il faut protéger ces milieux en voie de dégradation progressive de la qualité des eaux dont dépendent tous les organismes vivants qui en font partie.
Gestionnaires, élus, professionnels de la pêche et citoyens ne seront donc jamais assez vigilants sur le devenir de ces zones touchées par divers changements au cours du XXè siècle et ce n’est pas le moindre mérite de l’E.I.D. de participer à cette éducation à la protection de ces milieux naturels.
Virginie, la guide attitrée des groupes de visiteurs, au départ de la visite
A l’occasion de la célébration des « Journées Mondiales des Zones Humides en Méditerranée », l’E.I.D. (Entente Interdépartementale de Démoustication) était de retour sur ses terres de prédilection des anciens salins, avec Virginie, la jeune guide, toujours prompte à emmener ses visiteurs sur les chemins de la protection de ces lieux magiques.
Et ces visiteurs, ils étaient une trentaine ce mardi, désireux de goûter à cette découverte pédagogico- sportive de ces zones de transition entre terre et mer qui abritent quantités de richesses en matière de flore, comme la « sansouire » avec saladelle, soude, salicorne ou de faune avec ses canards souchets, avocettes, hérons cendrés, observables à la longue vue.
Et ces visites organisées sont autant de prises de conscience qu’il faut protéger ces milieux en voie de dégradation progressive de la qualité des eaux dont dépendent tous les organismes vivants qui en font partie.
Gestionnaires, élus, professionnels de la pêche et citoyens ne seront donc jamais assez vigilants sur le devenir de ces zones touchées par divers changements au cours du XXè siècle et ce n’est pas le moindre mérite de l’E.I.D. de participer à cette éducation à la protection de ces milieux naturels.
Virginie, la guide attitrée des groupes de visiteurs, au départ de la visite
