La théorie du conflit non-violent, conçue par Peter Ackerman, affirme que les mouvements qui prennent la décision stratégique de renoncer à la violence réussissent beaucoup plus souvent à renverser un despote que les mouvements violents.
A l'origine de cette idée, Gene Sharp, qui a remis en question l'image romantique entourant les révolutionnaires du tiers-monde. Sharp, en s'appuyant sur Hannah Arendt et Max Weber, affirme que les marxistes se méprenaient sur la nature du pouvoir : les régimes oppressifs ne survivent pas parce qu'ils monopolisent la violence de la société mais parce qu'ils obtiennent l'assentiment de la société : "L'obéissance est au cœur du pouvoir politique".
A la différence de Gandhi, Ackerman n'opte donc pas pour la non-violence
en raison de sa supériorité morale mais pour son efficacité.
Il observe que les mouvements qui réussissent sont ceux qui se fixent des objectifs limités et accessibles.
source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conflit_non-violent
A l'origine de cette idée, Gene Sharp, qui a remis en question l'image romantique entourant les révolutionnaires du tiers-monde. Sharp, en s'appuyant sur Hannah Arendt et Max Weber, affirme que les marxistes se méprenaient sur la nature du pouvoir : les régimes oppressifs ne survivent pas parce qu'ils monopolisent la violence de la société mais parce qu'ils obtiennent l'assentiment de la société : "L'obéissance est au cœur du pouvoir politique".
A la différence de Gandhi, Ackerman n'opte donc pas pour la non-violence
en raison de sa supériorité morale mais pour son efficacité.
Il observe que les mouvements qui réussissent sont ceux qui se fixent des objectifs limités et accessibles.
source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conflit_non-violent