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Avant les canards, il y a eu cela.Une vision dont on a du mal à se séparer. Et qui fait toujours autant cogiter. Pas seulement nous d'ailleurs. Les personnes rencontrées dans les rues proches en parlaient encore hier.
Comment finir comme ça?Comment l'éviter? Pas de maisons ou de bâtiments abandonnés à Frontignan, qu'on pourrait retaper, quitte à le faire avec ces SDF, avec quelques matériaux et du personnel de la ville? Qu'est-ce que cela coûterait? Une sorte de havre à portée de ceux qui en ont besoin dans les temps les plus durs..
En attendant nous n'avons plus que nos yeux pour pleurer devant cette scène obsédante. Peut-être pour cela qu'on voit les canards comme un sourire, pour passer à autre chose....La vie est ainsi faite...
