Peinture : Marie Doutrelant :la femme en pleine lumière
La salle Izzo a repris vie ce vendredi soir où Marie Doutrelant, artiste peintre frontignanaise, a accroché ses œuvres aux cimaises, récompensée qu’elle a été par l’association Culturelle et Laïque de son 1er prix au Salon des Artistes du Bassin de Thau.
C’est d’ailleurs Mme Sabine Koloskoff, présidente de l’A .C.L. et Mme Tant, adjointe à la culture, qui ont salué le « foisonnement et la personnalité multiple » de celle qui a mis pareillement la femme en valeur dans son œuvre.
L’artiste a ensuite mis en exergue son goût pour la lumière, les couleurs, l’humour, le regard des gens et donc, la vie, dans une œuvre qu’elle veut inspirée des plus grands, Gauguin, Van Gogh, Braque et autres Klee.
Ses tableaux, comme « La fille du bord de mer »ou « La danseuse, Isadora » dévoilent un goût sûr pour les portraits d’une femme moderne, aux lignes très pures et aux tons pastels qui diffusent une lumière sereine. L’œil s’intéresse aux mystères de l’être humain. L’effet est contemplatif laissant entrevoir un idéal recherché de pureté, à travers les différentes humeurs et les maniements de pinceaux.
Le corps humain et ses rapports possibles entre la réalité, l’abstraction et sa propre imagination constituent l’essentiel de son inspiration (Le guépard, Odalisque ou Tryptique : les inconnues nues)
Une autre voie prise par cette artiste, qui a fait carrière en tant que graphiste, s’exprime dans des tableaux peints avec une verve inventive (« Attention ça pique ») où l’artiste entrecroise les couleurs et des collages élaborés avec différentes matières. Elle abandonne alors les techniques traditionnelles et pousse loin l’effet plastique et décoratif en s’ouvrant avec une certaine fraîcheur dans un filon créatif rythmé et ludique.
L’artiste a le sens instinctif des couleurs auxquelles elle accorde une place primordiale. Cette exposition réunit des moments sensuels de la chair et du cœur sous des pinceaux vivants et cette richesse chromatique laisse vivre la beauté des formes enlacées dans un vision très humaine des sensations et délivre alors un langage pictural original tout à fait prenant.
Jusqu’au 17 mars, salle Izzo, de 10h à 12h et de 15h à 19h.
Une artiste( à gauche) possédée par la couleur
La salle Izzo a repris vie ce vendredi soir où Marie Doutrelant, artiste peintre frontignanaise, a accroché ses œuvres aux cimaises, récompensée qu’elle a été par l’association Culturelle et Laïque de son 1er prix au Salon des Artistes du Bassin de Thau.
C’est d’ailleurs Mme Sabine Koloskoff, présidente de l’A .C.L. et Mme Tant, adjointe à la culture, qui ont salué le « foisonnement et la personnalité multiple » de celle qui a mis pareillement la femme en valeur dans son œuvre.
L’artiste a ensuite mis en exergue son goût pour la lumière, les couleurs, l’humour, le regard des gens et donc, la vie, dans une œuvre qu’elle veut inspirée des plus grands, Gauguin, Van Gogh, Braque et autres Klee.
Ses tableaux, comme « La fille du bord de mer »ou « La danseuse, Isadora » dévoilent un goût sûr pour les portraits d’une femme moderne, aux lignes très pures et aux tons pastels qui diffusent une lumière sereine. L’œil s’intéresse aux mystères de l’être humain. L’effet est contemplatif laissant entrevoir un idéal recherché de pureté, à travers les différentes humeurs et les maniements de pinceaux.
Le corps humain et ses rapports possibles entre la réalité, l’abstraction et sa propre imagination constituent l’essentiel de son inspiration (Le guépard, Odalisque ou Tryptique : les inconnues nues)
Une autre voie prise par cette artiste, qui a fait carrière en tant que graphiste, s’exprime dans des tableaux peints avec une verve inventive (« Attention ça pique ») où l’artiste entrecroise les couleurs et des collages élaborés avec différentes matières. Elle abandonne alors les techniques traditionnelles et pousse loin l’effet plastique et décoratif en s’ouvrant avec une certaine fraîcheur dans un filon créatif rythmé et ludique.
L’artiste a le sens instinctif des couleurs auxquelles elle accorde une place primordiale. Cette exposition réunit des moments sensuels de la chair et du cœur sous des pinceaux vivants et cette richesse chromatique laisse vivre la beauté des formes enlacées dans un vision très humaine des sensations et délivre alors un langage pictural original tout à fait prenant.
Jusqu’au 17 mars, salle Izzo, de 10h à 12h et de 15h à 19h.
Une artiste( à gauche) possédée par la couleur