L'intervention de M. Sarkosy a fait preuve une nouvelle fois d'une démagogie inquiétante. Ce fut un discours électoral.Son gouvernement, l'U.M.P. son Parti persévèrent également.
Deux aprés son élection, le Président promet toujours un changement inévitable mais en fait les actes ne suivent pas les paroles. Et de plus, lundi aprés -midi il a eu l'outrecuidence de s'inspirer du < Conseil National de la Résistance<< aprés Jaurés , Guy Mocquet. Quelle supercherie!....
Les problèmes restent entiers; les inégalités sociales s'accentuent. De 1977 à 2005 les revenus des riches et des plus pauvres ont progressé au même rythme plus 16% environ Mais voilà , la différence c'est que les premiers touchent 4,2 fois plus que les seconds.
Les revenus moyens des plus aisés sont de40370 par an et des plus pauvres 9500 euros .L'écart est passé de 26000 à 30000 euros .
Le < bouclier fiscal>, politique de baisse des impôts pour les plus gros contribuables a davantage creusé l'écart. Le Sénateur U.M.P."Philippe Marini" a chiffré à 60 milliards le coût annuel des baisses d'impôts au détriment des caisses de l'Etat, c'est l'équivalent du budget de l'Education Nationale.
L'économiste "Camille Landais" a montré que les plus riches ont vu leurs revenus augmenter de 42,5% alors que les plus bas s'est limité à 4,6%.
Ces disproportions se révèlent intolérables et pénalisent les plus pâuvres.Quand es-ce que nos hommes politiques accepteront d'apporter un peu d'humanisme.
frountil claude -------source "Télérama"
Deux aprés son élection, le Président promet toujours un changement inévitable mais en fait les actes ne suivent pas les paroles. Et de plus, lundi aprés -midi il a eu l'outrecuidence de s'inspirer du < Conseil National de la Résistance<< aprés Jaurés , Guy Mocquet. Quelle supercherie!....
Les problèmes restent entiers; les inégalités sociales s'accentuent. De 1977 à 2005 les revenus des riches et des plus pauvres ont progressé au même rythme plus 16% environ Mais voilà , la différence c'est que les premiers touchent 4,2 fois plus que les seconds.
Les revenus moyens des plus aisés sont de40370 par an et des plus pauvres 9500 euros .L'écart est passé de 26000 à 30000 euros .
Le < bouclier fiscal>, politique de baisse des impôts pour les plus gros contribuables a davantage creusé l'écart. Le Sénateur U.M.P."Philippe Marini" a chiffré à 60 milliards le coût annuel des baisses d'impôts au détriment des caisses de l'Etat, c'est l'équivalent du budget de l'Education Nationale.
L'économiste "Camille Landais" a montré que les plus riches ont vu leurs revenus augmenter de 42,5% alors que les plus bas s'est limité à 4,6%.
Ces disproportions se révèlent intolérables et pénalisent les plus pâuvres.Quand es-ce que nos hommes politiques accepteront d'apporter un peu d'humanisme.
frountil claude -------source "Télérama"