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Nadege et Eduardo sont un jeune couple de frontignanais. Ils viennent de se marier et en guise de voyage de noces, ils sont partis trois mois en Amérique du Sud, rien que ça ! Un voyage, bien sûr « touristique », mais pas seulement. Un voyage pour voir les habitants des pays traversés, les rencontrer, vivre avec eux, travailler avec eux et découvrir dans leur quotidien leurs faits et gestes, traditions, réalisations et projets. Autrement dit un voyage intelligent rempli d’humain, de sensibilité, d’observations et de prise de conscience qui ont enrichi nos deux jeunes aventuriers et ont renforcé leurs armes pour la vie qu’ils viennent de reprendre une fois de retour au bercail depuis Noël.
Et partageurs comme ils le sont, Nadège et Eduardo n’ont pas perdu de temps pour sélectionner parmi les quelque 2000 photos qu’ils ont prises en traversant l’Equateur, le Pérou et la Bolivie, les plus parlantes et les plus révélatrices, pour en faire un montage vidéo qu’ils se sont fait un plaisir de commenter au cours d’une soirée entre amis hier soir.
Nous les avons alors accompagnés, haletants devant tant de découvertes, d’imprévu, de plaisirs dans la rencontre, le travail et le partage, qu’ils ont recueillis au cours de ces trois mois de pérégrinations en bus, en train, en 4X4 ou le plus souvent, à pied, entre Océan Pacifique, volcans, Machu Pichu ,
« communautés » et capitales sud-américaines.
Rien n’a échappé au regard et au cœur de ces deux jeunes, bien décidés à travailler désormais pour introduire le plus possible d’éléments économiques, agricoles, culturels, écologiques et sociétaux, à leurs yeux positifs qu’ils ont « récoltés » là-bas, pour essayer de les « transplanter » dans notre société occidentale, celle de tous les jours où ils vivent.
Des salins, en Bolivie, mais...bien différents de ceux de Frontignan!
Ce n’est pas un hasard si, avant de partir, ils étaient déjà deux membres très actifs de l’association « la Graine » qui, à Frontignan, travaille à la création de Jardins Familiaux.
Un vœu que nous formulons pour ces deux jeunes : que leur « richesse » soit le plus vite possible prise en compte pour que Frontignan profite autant que ceux qui les ont vus passer en Amérique du Sud de leur dynamisme, de leur savoir-faire et de leur volonté d’agir pour une vie meilleure de la communauté humaine de leur ville.
Une vue, sublime, qui leur sert de fond d'écran. Ça se comprend!
Et partageurs comme ils le sont, Nadège et Eduardo n’ont pas perdu de temps pour sélectionner parmi les quelque 2000 photos qu’ils ont prises en traversant l’Equateur, le Pérou et la Bolivie, les plus parlantes et les plus révélatrices, pour en faire un montage vidéo qu’ils se sont fait un plaisir de commenter au cours d’une soirée entre amis hier soir.
Nous les avons alors accompagnés, haletants devant tant de découvertes, d’imprévu, de plaisirs dans la rencontre, le travail et le partage, qu’ils ont recueillis au cours de ces trois mois de pérégrinations en bus, en train, en 4X4 ou le plus souvent, à pied, entre Océan Pacifique, volcans, Machu Pichu ,
« communautés » et capitales sud-américaines.
Rien n’a échappé au regard et au cœur de ces deux jeunes, bien décidés à travailler désormais pour introduire le plus possible d’éléments économiques, agricoles, culturels, écologiques et sociétaux, à leurs yeux positifs qu’ils ont « récoltés » là-bas, pour essayer de les « transplanter » dans notre société occidentale, celle de tous les jours où ils vivent.
Des salins, en Bolivie, mais...bien différents de ceux de Frontignan!
Ce n’est pas un hasard si, avant de partir, ils étaient déjà deux membres très actifs de l’association « la Graine » qui, à Frontignan, travaille à la création de Jardins Familiaux.
Un vœu que nous formulons pour ces deux jeunes : que leur « richesse » soit le plus vite possible prise en compte pour que Frontignan profite autant que ceux qui les ont vus passer en Amérique du Sud de leur dynamisme, de leur savoir-faire et de leur volonté d’agir pour une vie meilleure de la communauté humaine de leur ville.
Une vue, sublime, qui leur sert de fond d'écran. Ça se comprend!
