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L’ancienne église de Gigean brillait de mille feux samedi soir. Il s’y déroulait un petit événement peu ordinaire avec ce concert proposé par l’association frontignanaise « Musique au cœur » animée par Nadine Lavagna, distinguée professeur de piano à l’Ecole de Musique municipale de Frontignan.
Une "madone" moderne dans l'ancienne église de Gigean? Non, Anne Desbrosse, à la trompette, en "position haute"!
Les deux amours-mais elle en a d’autres !- de Nadine, c’est la musique et les enfants, les plus déshérités en particulier. Pour résumer, Nadine crée de quoi collecter des fonds pour apporter la joie par la musque ainsi qu’un maximum de secours à trois orphelinats de Bosnie, un autre au Cameroun et l’an passé, à un autre en Roumanie, pays pour lequel elle continue de « travailler », en proposant des concerts dans la région de Sète-Frontignan.
Et pour ce samedi à Gigean, Nadine avait rassemblé de sacrés atouts : le prêt de l’ancienne église, magnifique édifice pour une telle audition, par M.le maire de Gigean, le prêt d’un superbe piano blanc de qualité et pour couronner le tout, la collaboration de ces merveilleuses jeunes musiciennes, professeurs elles aussi à l’Ecole de Musique de Frontignan et d’une danseuse de « Vis ta danse », une dynamique école de danse frontignanaise.
Alors dans un cadre unique, agrémenté de diapositives et de photos sur la Roumanie,
une jeune présentatrice, aux allures d’hôtesse de l’air, a emmené le public dans un formidable voyage d’ouest en est en musique à travers le monde.
C’est toute une suite de morceaux divers par leurs rythmes, leur difficulté, leurs compositeurs, leur nature, moderne ou classique, qui ont été servis par Héloïse Bezault, à la flûte traversière,
Anne Desbrosse, à la trompette,
Marion Amouroux, au saxophone,alto et soprano,
bien sûr accompagnées par une Nadine Lavagna, omniprésente au piano et Coralie Garambois dans des chorégraphies personnelles et inspirées.
Moments d’exception alors que ce travail, servi par une jeunesse aussi remarquable par la grâce que par la virtuosité et donc marqué par une forte touche frontignanaise.
En effet, si nous connaissions déjà ces jeunes musiciennes, coulées dans l’ensemble très jazzy de l’Ecole de Musique, nous avons découvert leur vrai potentiel en solistes classique ce soi-là.
Il y avait trop peu de frontignanais pour apprécier une telle richesse, mais ce sera pour la prochaine fois, grâce à cette prestation de samedi soir.
Une "madone" moderne dans l'ancienne église de Gigean? Non, Anne Desbrosse, à la trompette, en "position haute"!
Les deux amours-mais elle en a d’autres !- de Nadine, c’est la musique et les enfants, les plus déshérités en particulier. Pour résumer, Nadine crée de quoi collecter des fonds pour apporter la joie par la musque ainsi qu’un maximum de secours à trois orphelinats de Bosnie, un autre au Cameroun et l’an passé, à un autre en Roumanie, pays pour lequel elle continue de « travailler », en proposant des concerts dans la région de Sète-Frontignan.
Et pour ce samedi à Gigean, Nadine avait rassemblé de sacrés atouts : le prêt de l’ancienne église, magnifique édifice pour une telle audition, par M.le maire de Gigean, le prêt d’un superbe piano blanc de qualité et pour couronner le tout, la collaboration de ces merveilleuses jeunes musiciennes, professeurs elles aussi à l’Ecole de Musique de Frontignan et d’une danseuse de « Vis ta danse », une dynamique école de danse frontignanaise.
Alors dans un cadre unique, agrémenté de diapositives et de photos sur la Roumanie,
une jeune présentatrice, aux allures d’hôtesse de l’air, a emmené le public dans un formidable voyage d’ouest en est en musique à travers le monde.
C’est toute une suite de morceaux divers par leurs rythmes, leur difficulté, leurs compositeurs, leur nature, moderne ou classique, qui ont été servis par Héloïse Bezault, à la flûte traversière,
Anne Desbrosse, à la trompette,
Marion Amouroux, au saxophone,alto et soprano,
bien sûr accompagnées par une Nadine Lavagna, omniprésente au piano et Coralie Garambois dans des chorégraphies personnelles et inspirées.
Moments d’exception alors que ce travail, servi par une jeunesse aussi remarquable par la grâce que par la virtuosité et donc marqué par une forte touche frontignanaise.
En effet, si nous connaissions déjà ces jeunes musiciennes, coulées dans l’ensemble très jazzy de l’Ecole de Musique, nous avons découvert leur vrai potentiel en solistes classique ce soi-là.
Il y avait trop peu de frontignanais pour apprécier une telle richesse, mais ce sera pour la prochaine fois, grâce à cette prestation de samedi soir.
