Ces 15èmes Rencontres Franco-Roumaines en Méditerranée ont débuté ce dernier vendredi soir au LEPAP Clavel de Frontignan où l’association « Dacia Méditerranée » a basé jusqu’à aujourd’hui dimanche une partie de ses animations culturelles avec exposition de peintures sur verre
avec démonstrations par des artistes Roumains avec d’autres œuvres remarquables de patchwork aussi exposées ainsi qu'un atelier rencontre litééraire et poétique, le poète national Eminescu, étant mis à l'honneur.
Si Claude Pernin, le président de Dacia Méditerranée, a souligné dans son préambule le soutien de la mairie de Frontignan et de son Office de Tourisme dans cette organisation, la mairie de Sète, contrairement à son habitude, n’ayant pas daigné apporter son concours cette année à cette rencontre européenne, Robert Fabre, seul représentant « officiel » de la mairie de Frontignan a lui excusé l’absence du maire et de son adjointe à la culture, Simone Tant.
Heureusement, le directeur du LEPAP, M.Forner a contribué lui aussi, par ses actes et ses paroles a cet « esprit d’ouverture » qui a toujours animé son établissement, une action d’échanges vers la Roumanie pour des jeunes ayant déjà été organisée par le passé.
Comme les directeurs d’établissements scolaires brillaient, eux, par leur présence vendredi soir- Mme Sandrin du collège S.de Beauvoir étant aussi présente-c’est Mme Christiane Giraudeau, membre de Dacia-Méditerranée et principale du collège des 2 Pins,
qui s’est dite heureuse elle aussi de participer avec son établissement à cette rencontre européenne impliquant la Roumanie et ses artistes, qui vont ce mardi 12 octobre animer pour des élèves un atelier de peinture sur verre au collège des 2 Pins.Mme Giraudeau a aussi annoncé qu’un projet européen avec la Roumanie était à l’étude et qu’il ne pouvait que favoriser la « conscience citoyenne d’européen » de nos jeunes.
M.Pernin a ensuite précisé que la part d’investissement financier des autorités culturelles et touristiques Roumaines de Ipotesti-Botosani- région de Iasi, en Moldavie- était très importante cette année et qu’un projet de tourisme vert se préparait avec elles pour 2011.
Il ne restait plus qu’à déguster le petit « Cotnari » roumain pour trinquer à la santé de ces relations franco-roumaines,
avant de se diriger vers l’église St Paul où dans la soirée était donné un concert choral de la plus haute tenue, symbole encore une fois souligné de ce désir de nos cousins Roumains de montrer un tout autre visage que celui qu’une récente actualité veut malheureusement leur donner….