Ce dernier dimanche après-midi, une fois parvenu dans l’impasse des Plaisanciers à Frontignan-plage, l’on pouvait hésiter entre poursuivre son chemin jusqu’à la grande bleue, chaude et transparente ou entrer chez Evy, l’artiste frontignanaise, qui la veille avait déjà ouvert grand son portail pour accueillir les amateurs d’art venus assister au vernissage de son exposition et de celle de Joël Lotton, dans son musée-galerie. Toutefois le programme proposé cet après-midi là chez Evy avait de quoi attirer ceux que l’insolite, en matière de culture, sous forme de conférence pouvait séduire, pour enrichir des vacances pas forcément faites pour « bronzer idiot » ! Le cadre vert et fleuri du jardin, le bord de la piscine ombragé et paré d’une fresque du peintre Adrien Seguin, encore une fois, avait tout pour plaire et fixer notre attention pour le Dr Olivier Grandrie, le fils d’Evy, chercheur et conférencier, qui proposait une conférence sur le thème « Modèle de représentation de soi, au travers du temps, de l’espace et de la conscience », agrémentée d’un montage audio-visuel.
Et d’énumérer et d’expliquer les divers « niveaux de conscience, « la formation du moi, dans laquelle on s’embourbe »…et dont on peut sortir, en faisant des efforts, puisque « nous sommes centrés sur quelque chose qui n’est pas juste »…, avant d’affirmer que « l’univers est le produit de notre conscience….et que selon Grabovoï, au moment de notre mort, il y a « échappement corporel mais pas mort de la conscience…. ». Puis après avoir traité de l’âme, de l’esprit et toujours de la conscience, de conclure, en optimiste, finalement, que « rien ne peut se faire sans Amour ». Inhabituels sujets de réflexion, écarquillement des yeux, ouverture de l’esprit assurément que ces propos qui ne peuvent que nous enrichir en nous transportant dans des domaines peu explorés, par peur du vertige probablement, tant le sujet de la vie et de la mort est infini.
Justement, la vie et la mort se retrouvaient aussitôt confrontées au cours d’une rencontre familiale et amicale qui voulait célébrer la mémoire de Claude Grandrie, papa d’Olivier et mari d’Evy, décédé il y a sis ans et que chacun, chacune, près des roses de son jardin qu’il aimait tant, a fait revivre en lisant des extraits son œuvre poétique d’autant plus inconnue qu’elle ne fut pas publiée de son vivant.
Et l’orateur de nous emmener alors vers les trois mots-clés du sujet : le temps, l’espace et surtout, la conscience et nous transporter dans des zones de réflexion peu fréquentées par cette « conscience », dont le champ, M.Grandrie a tenu à nous le démontrer, est décidément très restreint. D’où cet « élargissement », qui nous est possible et nécessaire, selon lui, pour voir les choses de la vie, de son origine et de son devenir autrement. La science, qu’Olivier Grandrie possède dans toute son étendue, est alors venue étayer ses dires, quand il a voulu par exemple prouver que l’homme est en interaction avec le cosmos, qui alimente notre système interne et que l’animal est le miroir de l’homme, selon des expériences que le thérapeute qu’il est pour les animaux peut faire tous les jours.
Et d’énumérer et d’expliquer les divers « niveaux de conscience, « la formation du moi, dans laquelle on s’embourbe »…et dont on peut sortir, en faisant des efforts, puisque « nous sommes centrés sur quelque chose qui n’est pas juste »…, avant d’affirmer que « l’univers est le produit de notre conscience….et que selon Grabovoï, au moment de notre mort, il y a « échappement corporel mais pas mort de la conscience…. ». Puis après avoir traité de l’âme, de l’esprit et toujours de la conscience, de conclure, en optimiste, finalement, que « rien ne peut se faire sans Amour ». Inhabituels sujets de réflexion, écarquillement des yeux, ouverture de l’esprit assurément que ces propos qui ne peuvent que nous enrichir en nous transportant dans des domaines peu explorés, par peur du vertige probablement, tant le sujet de la vie et de la mort est infini.
Justement, la vie et la mort se retrouvaient aussitôt confrontées au cours d’une rencontre familiale et amicale qui voulait célébrer la mémoire de Claude Grandrie, papa d’Olivier et mari d’Evy, décédé il y a sis ans et que chacun, chacune, près des roses de son jardin qu’il aimait tant, a fait revivre en lisant des extraits son œuvre poétique d’autant plus inconnue qu’elle ne fut pas publiée de son vivant.
Epouse, fils et fille, font revivre Claude Grandrie à travers son oeuvre
Divers enregistrements de Claude ont montré à l’assistance combien cet homme était mu par l’humour et l’amour de la vie, celle qu’il continue peut-être de mener…..dans un autre monde que nous ne connaissons pas.