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L’événement est trop rare pour ne pas en profiter. Et puis pour l’ancien coureur cycliste que je suis (et beau-frère d’un ancien du Tour de France) les courses cyclistes ont toujours de l’intérêt pour moi, même si….les choses ne sont plus comme avant…. !
Donc le Tour d’Espagne, ou « la Vuelta », passaient ce dimanche à Frontignan, en provenance de Nîmes et pour une arrivée de cette première étape à Gruissan.
Arrivé à 14h au rond point de la route de Sète, à vélo bien sûr, premier « spectacle » avec les discussions entre le CRS de service, qui empêchait l’accès au rond—point, donc à la bretelle vers Sète et les automobilistes sortant de Frontignan par l'avenue du 80è RI. On avait beau discuter, les ordres étaient les ordres ! Demi-tour sur la séparation de route, guidé par le CRS, c’était tout ce qui était possible….à moins d’attendre, une bonne demi-heure, avant le passage de la « caravane » ( ????)et des coureurs.
De caravane, il n’y en eut point. Des motards, beaucoup de motards (plus que de coureurs ?!) quelques voitures de logistique, de journalistes, deux hélicoptères, qui ont tourné au-dessus du " rond-point du canal » mais de caravane publicitaire, rien du tout. Les amateurs de casquettes du Tour de France étaient sûrement frustrés !
Parce que du public, il y en avait, sur le pont et au rond-point. Etonnant pour Frontignan, pas si « vélo » que ça, surtout un jour de St Louis…. !
Deuxième « spectacle », avant l’arrivée des coureurs : un officiel espagnol, dans sa langue, est venu barrer avec de la rubalise la voie gauche d’entrée au rond-point, pour les coureurs qui venaient de la plage. Et de demander au public de se mettre derrière le ruban, ainsi, les coureurs ne risquaient pas de foncer vers le public. Mais, non, le CRS de service avait reçu des ordres : personne derrière le ruban, sur la route.. Bon, comme sur tout rond-point de Tour de France, si des coureurs s’engouffraient vers la gauche, ils se prenaient le ruban et il y avait des photos à faire !!!!
Les coureurs, qui n’étaient pas dans la moyenne prévue, sont arrivés vers 14h45, groupés, par équipes, apparemment, avec quelques décrochés à quelques centaines de mètres, mais pas de lâchés vraiment. Cela sentait déjà le sprint de Gruissan, je pense.
Des coureurs, des couleurs, des senteurs d’embrocation de massage…et hop, c’était fini ! Avec une queue de voitures bloquées, du rond-point….jusqu’au centre ville ! Il était difficile de prévenir tous ces automobilistes et encore moins de les orienter vers Sète, vu que là-bas, en plus de la St Louis ( !!!) les axes étaient aussi réglementés et barrés. Il fallait prendre son mal en patience l’espace d’une heure…la mala suerte quoi !!!!Mais nos coureurs ont recueilli un bel accueil quand même de la part du public venu pour eux.
Donc le Tour d’Espagne, ou « la Vuelta », passaient ce dimanche à Frontignan, en provenance de Nîmes et pour une arrivée de cette première étape à Gruissan.
Arrivé à 14h au rond point de la route de Sète, à vélo bien sûr, premier « spectacle » avec les discussions entre le CRS de service, qui empêchait l’accès au rond—point, donc à la bretelle vers Sète et les automobilistes sortant de Frontignan par l'avenue du 80è RI. On avait beau discuter, les ordres étaient les ordres ! Demi-tour sur la séparation de route, guidé par le CRS, c’était tout ce qui était possible….à moins d’attendre, une bonne demi-heure, avant le passage de la « caravane » ( ????)et des coureurs.
De caravane, il n’y en eut point. Des motards, beaucoup de motards (plus que de coureurs ?!) quelques voitures de logistique, de journalistes, deux hélicoptères, qui ont tourné au-dessus du " rond-point du canal » mais de caravane publicitaire, rien du tout. Les amateurs de casquettes du Tour de France étaient sûrement frustrés !
Parce que du public, il y en avait, sur le pont et au rond-point. Etonnant pour Frontignan, pas si « vélo » que ça, surtout un jour de St Louis…. !
Deuxième « spectacle », avant l’arrivée des coureurs : un officiel espagnol, dans sa langue, est venu barrer avec de la rubalise la voie gauche d’entrée au rond-point, pour les coureurs qui venaient de la plage. Et de demander au public de se mettre derrière le ruban, ainsi, les coureurs ne risquaient pas de foncer vers le public. Mais, non, le CRS de service avait reçu des ordres : personne derrière le ruban, sur la route.. Bon, comme sur tout rond-point de Tour de France, si des coureurs s’engouffraient vers la gauche, ils se prenaient le ruban et il y avait des photos à faire !!!!
Les coureurs, qui n’étaient pas dans la moyenne prévue, sont arrivés vers 14h45, groupés, par équipes, apparemment, avec quelques décrochés à quelques centaines de mètres, mais pas de lâchés vraiment. Cela sentait déjà le sprint de Gruissan, je pense.
Des coureurs, des couleurs, des senteurs d’embrocation de massage…et hop, c’était fini ! Avec une queue de voitures bloquées, du rond-point….jusqu’au centre ville ! Il était difficile de prévenir tous ces automobilistes et encore moins de les orienter vers Sète, vu que là-bas, en plus de la St Louis ( !!!) les axes étaient aussi réglementés et barrés. Il fallait prendre son mal en patience l’espace d’une heure…la mala suerte quoi !!!!Mais nos coureurs ont recueilli un bel accueil quand même de la part du public venu pour eux.
