La communication sur cette « Journée de l’Ecomobilité » avait peut-être été un peu tardive, précipitée et….rudimentaire mais tout bon écologiste sait toujours se tenir au courant des événements, petits et grands, qui peuvent le concerner, sur Frontignan, sur Sète et à plus forte raison, quand le Bassin de Thau est concerné.
Nous étions quand même 25 cyclistes au départ de l’église Saint-Paul, ce dimanche 23, plus estival qu’automnal et le soleil ne pouvait qu’inciter à accompagner tous ceux qui croient en l’avenir des « déplacements doux », que ce soit à vélo, à roller, à trottinette et autres engins électriques ou pas qui commencent à faire fureur dans les grandes villes comme Paris.
Un petit tour devant l'église et puis s'en vont...
Mais ce dimanche, il y avait quand même quelques frontignanais au départ de la Vélorution, la deuxième en trois jours, si l’on compte celle des Alternatiba du jeudi 20. Les sétois de la Roue Libre de Thau (animée par un frontignanais), très dynamique et active sur le sujet du vélo, étaient sans doute plus nombreux à être venus de chez la grande sœur voisine.
Beaucoup de jolies machines, récentes, bien entretenues, à assistance électrique même, étaient au départ, avec leurs timbres, sonnettes et autres « pouet-pouet », qui devaient servir à signaler la présence de ces joyeux cyclistes venant en encourager d’autres à faire de même. Il y avait même une bien belle sono qui a fait résonner au départ une chouette chanson au style rétro très enlevé, « Fais du vélo ». Mais quelques minutes après le départ, cette formidable invitation à se bouger, allait tomber en panne !!!
Ah, si seulement elle pouvait passer la voiture!!!!Ah, ces cyclistes, décidément!!!!
Le serpent cycliste s’est alors déroulé à travers la ville, dans des petites rues très calmes et même dans des ruelles et chemins peu connus, ceci pour éviter la circulation automobile. Bonne idée donc, pour « réveiller » les endormis, mais peut-être pas une bonne idée, en évitant les endroits un peu fréquentés du dimanche matin, comme la rue Anatole- France ou même le centre ville.
Tout ça pour atteindre, « par les derrières de la ville », très bucoliques d’ailleurs, la petite route de l’étang des Prés St Martin, jusqu’à la Peyrade, à côté da la salle des sports Roger Arnaud où se tenaient les stands prévus pour l’animation de la journée et quand même un peu d’ombre pour le pique-nique partagé du midi.
De belles images au passage, quand même, de spectateurs de tout coeur avec les cyclistes!
Présence fidèle de Loïc Linares, élu délégué au développement durable,
Arrivée triomphale, sous les vivats du public!!!!
Un grand soutien quand même: Loïc Linares
un peu de pédagogie avec tableaux et une « professeur de code de la rue » mais il faut reconnaître qu’à part un petit noyau de fidèles, toujours les mêmes, qui se connaissent entre eux, convaincus et initiés qu’ils sont à toutes ces questions, la foule n’était pas là, pour diverses raisons. Ce lieu, un peu excentré, pas évident à trouver, avait-il été choisi judicieusement, sans autre possibilité de mieux toucher le public du dimanche ? La place Gabriel péri, avec son petit marché du dimanche aurait apporté quelques curieux de plus ne s’, non ? Il s’est dit que toutes les animations envisagées ne se sont pas tenues l’après-midi. Est-ce une surprise ? Si l’on conjugue ce choix de lieu discutable à une promo et une com pas assez fortes ni étendues et disons-le un « esprit cycliste » et écolo encore loin de prendre racine à Frontignan, on devra admettre d’une manière réaliste, le faible impact de cette sympathique manifestation, pourtant faite pour aussi renforcer le sacro saint esprit de « partage » et de « convivialité » que l’on chante tous les jours à Frontignan. Patience et longueur de temps feront peut-être naître des temps où la petite reine sera sacrée à la place de la voiture, dans une ville qui dit tout faire pour ça…
Nous étions quand même 25 cyclistes au départ de l’église Saint-Paul, ce dimanche 23, plus estival qu’automnal et le soleil ne pouvait qu’inciter à accompagner tous ceux qui croient en l’avenir des « déplacements doux », que ce soit à vélo, à roller, à trottinette et autres engins électriques ou pas qui commencent à faire fureur dans les grandes villes comme Paris.
Un petit tour devant l'église et puis s'en vont...
Mais ce dimanche, il y avait quand même quelques frontignanais au départ de la Vélorution, la deuxième en trois jours, si l’on compte celle des Alternatiba du jeudi 20. Les sétois de la Roue Libre de Thau (animée par un frontignanais), très dynamique et active sur le sujet du vélo, étaient sans doute plus nombreux à être venus de chez la grande sœur voisine.
Beaucoup de jolies machines, récentes, bien entretenues, à assistance électrique même, étaient au départ, avec leurs timbres, sonnettes et autres « pouet-pouet », qui devaient servir à signaler la présence de ces joyeux cyclistes venant en encourager d’autres à faire de même. Il y avait même une bien belle sono qui a fait résonner au départ une chouette chanson au style rétro très enlevé, « Fais du vélo ». Mais quelques minutes après le départ, cette formidable invitation à se bouger, allait tomber en panne !!!
Ah, si seulement elle pouvait passer la voiture!!!!Ah, ces cyclistes, décidément!!!!
Le serpent cycliste s’est alors déroulé à travers la ville, dans des petites rues très calmes et même dans des ruelles et chemins peu connus, ceci pour éviter la circulation automobile. Bonne idée donc, pour « réveiller » les endormis, mais peut-être pas une bonne idée, en évitant les endroits un peu fréquentés du dimanche matin, comme la rue Anatole- France ou même le centre ville.
Tout ça pour atteindre, « par les derrières de la ville », très bucoliques d’ailleurs, la petite route de l’étang des Prés St Martin, jusqu’à la Peyrade, à côté da la salle des sports Roger Arnaud où se tenaient les stands prévus pour l’animation de la journée et quand même un peu d’ombre pour le pique-nique partagé du midi.
De belles images au passage, quand même, de spectateurs de tout coeur avec les cyclistes!
Présence fidèle de Loïc Linares, élu délégué au développement durable,
Arrivée triomphale, sous les vivats du public!!!!
Un grand soutien quand même: Loïc Linares
un peu de pédagogie avec tableaux et une « professeur de code de la rue » mais il faut reconnaître qu’à part un petit noyau de fidèles, toujours les mêmes, qui se connaissent entre eux, convaincus et initiés qu’ils sont à toutes ces questions, la foule n’était pas là, pour diverses raisons. Ce lieu, un peu excentré, pas évident à trouver, avait-il été choisi judicieusement, sans autre possibilité de mieux toucher le public du dimanche ? La place Gabriel péri, avec son petit marché du dimanche aurait apporté quelques curieux de plus ne s’, non ? Il s’est dit que toutes les animations envisagées ne se sont pas tenues l’après-midi. Est-ce une surprise ? Si l’on conjugue ce choix de lieu discutable à une promo et une com pas assez fortes ni étendues et disons-le un « esprit cycliste » et écolo encore loin de prendre racine à Frontignan, on devra admettre d’une manière réaliste, le faible impact de cette sympathique manifestation, pourtant faite pour aussi renforcer le sacro saint esprit de « partage » et de « convivialité » que l’on chante tous les jours à Frontignan. Patience et longueur de temps feront peut-être naître des temps où la petite reine sera sacrée à la place de la voiture, dans une ville qui dit tout faire pour ça…