On ne surprendra personne en disant que la campagne pour les prochaines élections municipales de 2020 est ouverte depuis un certain temps, surtout du côté de l’opposition actuelle et de tous ceux qui par le dialogue, les échanges, les réseaux sociaux et la participation à la vie de la ville sans être élus, sont en train de planter des jalons pour montrer leur existence, se faire connaître et donc « préparer le terrain » pour le printemps 2020.
Tous les journalistes, français en tous cas, s’accordent politiquement sur le fait que « l’opposition est toujours utile dans une démocratie » et que même les majorités en place devraient-comme l’a dit récemment Jean-Michel Apathie- s’inspirer de ce que ces oppositions expriment pour diriger leurs actions. On pourrait même dire plus, comment appelle-t-on ces régimes qui interdisent toute opposition?
Sur ces bases-là, appliquons la règle à la municipalité de Frontignan et signalons cette initiative peu ordinaire du chef de file l’opposition municipale, Gérard Prato, qui propose mercredi prochain 24 octobre, à partir de 18h30, à la salle Voltaire au parc Victor Hugo, la rédaction de Cahiers de Doléances de Frontignan.
Pour qui ne connaîtrait pas M.Prato, rappelons que cet élu municipal, l’est aussi à la Région Occitanie-Pyrennées-Méditerranée, pour le Rassemblement National-Bleu Marine, depuis 2016.Inspecteur à la Direction Générale des Finances Publiques, il est aussi secrétaire départemental du Rassemblement National de l’Hérault. Candidat aux législatives en 2017 sur le canton de Frontignan, il fait 21% au 1er tour et 34% au 2è, battu qu’il est par le candidat LREM, Nicolas Démoulin, qui réalise lui 63%.
Lapeyradois depuis toujours, M.Prato est une figure de plus en plus familière sur Frontignan, ne serait-ce que par les tractages sur le marché (mais à l’entrée !), qui ont déjà commencé et ses nombreuses interventions sur sa page Facebook.
Cette réunion publique du 24 octobre est donc ouverte à tous, pas forcément pour pleurer ou faire part de ses douleurs, comme le mot « doléances » a pu le signifier, surtout en 1789, au moment de la Révolution, mais sans doute pour faire une sorte d’état des lieux et faire toutes sortes de propositions et émettre des idées, qui pourraient par la suite faire leur chemin.
L’idée est originale et pourrait apporter quelques avantages à tous ceux, quels qu’ils soient qui regardent l’avenir de leur ville. Encore une fois, entendre le peuple puis l’écouter par la suite, peut se révéler utile pour le bien public. Faire l’impasse sur ce genre d’idée, faute d’en proposer une autre, c’est se priver d’une occasion supplémentaire de « faire des voix », disons-le franchement.
Donc ce 24 octobre, engagés ou pas où que ce soit, cette réunion sera au moins faite pour se rencontrer et se parler, qualité propre à tous les frontignanais, paraît-il !
Tous les journalistes, français en tous cas, s’accordent politiquement sur le fait que « l’opposition est toujours utile dans une démocratie » et que même les majorités en place devraient-comme l’a dit récemment Jean-Michel Apathie- s’inspirer de ce que ces oppositions expriment pour diriger leurs actions. On pourrait même dire plus, comment appelle-t-on ces régimes qui interdisent toute opposition?
Sur ces bases-là, appliquons la règle à la municipalité de Frontignan et signalons cette initiative peu ordinaire du chef de file l’opposition municipale, Gérard Prato, qui propose mercredi prochain 24 octobre, à partir de 18h30, à la salle Voltaire au parc Victor Hugo, la rédaction de Cahiers de Doléances de Frontignan.
Pour qui ne connaîtrait pas M.Prato, rappelons que cet élu municipal, l’est aussi à la Région Occitanie-Pyrennées-Méditerranée, pour le Rassemblement National-Bleu Marine, depuis 2016.Inspecteur à la Direction Générale des Finances Publiques, il est aussi secrétaire départemental du Rassemblement National de l’Hérault. Candidat aux législatives en 2017 sur le canton de Frontignan, il fait 21% au 1er tour et 34% au 2è, battu qu’il est par le candidat LREM, Nicolas Démoulin, qui réalise lui 63%.
Lapeyradois depuis toujours, M.Prato est une figure de plus en plus familière sur Frontignan, ne serait-ce que par les tractages sur le marché (mais à l’entrée !), qui ont déjà commencé et ses nombreuses interventions sur sa page Facebook.
Cette réunion publique du 24 octobre est donc ouverte à tous, pas forcément pour pleurer ou faire part de ses douleurs, comme le mot « doléances » a pu le signifier, surtout en 1789, au moment de la Révolution, mais sans doute pour faire une sorte d’état des lieux et faire toutes sortes de propositions et émettre des idées, qui pourraient par la suite faire leur chemin.
L’idée est originale et pourrait apporter quelques avantages à tous ceux, quels qu’ils soient qui regardent l’avenir de leur ville. Encore une fois, entendre le peuple puis l’écouter par la suite, peut se révéler utile pour le bien public. Faire l’impasse sur ce genre d’idée, faute d’en proposer une autre, c’est se priver d’une occasion supplémentaire de « faire des voix », disons-le franchement.
Donc ce 24 octobre, engagés ou pas où que ce soit, cette réunion sera au moins faite pour se rencontrer et se parler, qualité propre à tous les frontignanais, paraît-il !
Gérard Prato lors de sa campagne pourles législatives, à la salle de l'Aire