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La salle Izzo avait de nouveau revêtu ses plus beaux atours, ce samedi soir 16 juin, puisqu’elle s’ouvrait au public des invités de Jean-Louis Delorme, le peintre et artiste plasticien frontignanais bien connu, qui présente là, pendant une semaine, une bien jolie rétrospective de son œuvre complétée de quelques dernières créations.
Organisée par l’association des Quatre Saisons, cette exposition, « Entre mer et garrigues » présente toute l’étendue et la grande diversité des talents d’un artiste qui poursuit allègrement son chemin depuis des années qui l’ont vu travailler sur le thème des joutes mais aussi sur la crèche vivante annuelle qui draine et ravit des milliers de visiteurs depuis belle lurette.
L’œuvre de Delorme se dilate et remplit l’espace. L’artiste passe avec aisance des techniques traditionnelles à des procédés associant collages, grattages, découpages. Il obtient des effets plastiques et décoratifs qui dégagent le charme quotidien de la vie humaine et laborieuse des petites gens mais aussi d’une nature florale exacerbée.
Qui ne reconnaît pas François et ses bons oignons de Lézignan du marché ?!
Les pavois eux, passent du rôle d’objet concret à celui d’œuvre d’art. Les aquarelles de son jardin secret lui tiennent à cœur et renvoient à une réalité intérieure, poétique et originale qu’il privilégie.
Artiste en constant mouvement, Delorme évolue et éblouit dans la gaieté et les couleurs. Des heureuses surprises, il nous en réserve des tas, pour longtemps encore.
La vigne, en pleine ville, comme si nous y étions!
Mais ce « musée personnel » se trouve aussi accompagné et enveloppé par d’autres artistes amis de Delorme qui apportent leur touche personnelle tout en cohérence avec la vision enjouée de l’artiste sur le monde.
C’est un Philippe Bachy, peintre au passé prestigieux sur Montpellier, qui s’exprime par une photo représentative d’une sensibilité toute en nuances. C’est la douce et fine broderie de Monique Sénéchal puis les compositions florales soignées et très féminines de la jeune Patricia Caschinasco qui viennent rehausser le velouté de la touche « art populaire aux mille et un visages souriants » qui marque cette jolie exposition.
Michel Arrouy, pour la mairie a dit tout le bien qu’il pensait de l’initiative des Quatre Saisons, association qui sait animer en rassemblant. La preuve allait en être donnée avec le repas de la rue St Paul qui a suivi l’apéritif du vernissage.
L'artiste n'oublie personne dans les remerciements aux amis qui l'entourent
Organisée par l’association des Quatre Saisons, cette exposition, « Entre mer et garrigues » présente toute l’étendue et la grande diversité des talents d’un artiste qui poursuit allègrement son chemin depuis des années qui l’ont vu travailler sur le thème des joutes mais aussi sur la crèche vivante annuelle qui draine et ravit des milliers de visiteurs depuis belle lurette.
L’œuvre de Delorme se dilate et remplit l’espace. L’artiste passe avec aisance des techniques traditionnelles à des procédés associant collages, grattages, découpages. Il obtient des effets plastiques et décoratifs qui dégagent le charme quotidien de la vie humaine et laborieuse des petites gens mais aussi d’une nature florale exacerbée.
Qui ne reconnaît pas François et ses bons oignons de Lézignan du marché ?!
Les pavois eux, passent du rôle d’objet concret à celui d’œuvre d’art. Les aquarelles de son jardin secret lui tiennent à cœur et renvoient à une réalité intérieure, poétique et originale qu’il privilégie.
Artiste en constant mouvement, Delorme évolue et éblouit dans la gaieté et les couleurs. Des heureuses surprises, il nous en réserve des tas, pour longtemps encore.
La vigne, en pleine ville, comme si nous y étions!
Mais ce « musée personnel » se trouve aussi accompagné et enveloppé par d’autres artistes amis de Delorme qui apportent leur touche personnelle tout en cohérence avec la vision enjouée de l’artiste sur le monde.
C’est un Philippe Bachy, peintre au passé prestigieux sur Montpellier, qui s’exprime par une photo représentative d’une sensibilité toute en nuances. C’est la douce et fine broderie de Monique Sénéchal puis les compositions florales soignées et très féminines de la jeune Patricia Caschinasco qui viennent rehausser le velouté de la touche « art populaire aux mille et un visages souriants » qui marque cette jolie exposition.
Michel Arrouy, pour la mairie a dit tout le bien qu’il pensait de l’initiative des Quatre Saisons, association qui sait animer en rassemblant. La preuve allait en être donnée avec le repas de la rue St Paul qui a suivi l’apéritif du vernissage.
L'artiste n'oublie personne dans les remerciements aux amis qui l'entourent
