A une ou deux personnes près, propriétaires du bar, écrivains et journalistes compris, il y avait pratiquement autant de femmes que d’hommes- environ 23- ce jeudi soir au « Because », le bar qui se trouve près de l’Espace Bresson, dans la rue Anthérieu , qui va du boulevard V.Hugo à la mairie.
Et très peu de fumeurs ! Un(e) ou deux tout au plus.. C’était pour me faire mentir ! Alors continuez ainsi, je préfère !
C’est Nathalie Castanier, de « Soleil Noir », l’association organisatrice du Festival International du Roman Noir, qui en présentant les deux écrivains de la soirée a en quelque sorte donné le coup d’envoi de ce grand événement annuel qui fête son 10è anniversaire cette année (déjà !)
![Sympathique "café noir " littéraire au"Becaus Becaus11](https://i.servimg.com/u/f19/11/31/00/15/becaus11.jpg)
Autant de femmes que d'hommes, qui écoutent, ce soir-là !
Présentation des deux livres surtout. Les deux écrivains avaient bien punaisé une revue de presse sur un panneau mais trop éloigné des lecteurs, derrière la table des livres, pas facile de la lire….
Donc « Black Août » de Alain Romarin et « Fanzine » de Olivier Martinelli, manifestement des auteurs « du cru » puisque tous deux plantent leur histoire au cœur d’un Montpellier quelque peu transfiguré. Une ville « plongée dans un huis clos obligé »( selon son auteur) à cause d’une pluie rouge qui s’abat sur elle, pour le premier et un Montpelier plus glauque, malgré le manque d’intrigue policière, pour le second. D’autres points communs entre les deux livres avec une certaine noirceur : une femme est au cœur de l’histoire, une certaine forme de « rédemption » s’effectue à la fin du livre et les deux auteurs emploient le « je » pour le narrateur.
![Sympathique "café noir " littéraire au"Becaus Becaus10](https://i.servimg.com/u/f19/11/31/00/15/becaus10.jpg)
Une photo à l'image du Montpellier des deux livres: ensoleillé mais noir, aussi !
Sinon, si la notion de pluie rouge qui s’abat sur la ville implique le thème de l’écologie pour le premier, c’est la musique et le rock, que Martinelli connaît bien à Montpellier, qui baigne son histoire, partie de relations difficiles avec un jeune parent. Autre différence, Romarin a fortement allongé ce qui n’était qu’une nouvelle au départ, alors que « Fanzine » n’est que la moitié en épaisseur de son voisin.
Après avoir évoqué quelques références littéraires, qui donnent donc toute sa teinte à ce « café », qui va poursuivre ce genre d’activité dès septembre, nos deux auteurs ont répondu à une question sur Kérouac et se sont prêtés à des contacts plus rapprochés avec leur public, n’était-ce …..pour vendre leurs livres, qui méritent assurément d’être lus, afin de pouvoir en parler plus savamment..
![Sympathique "café noir " littéraire au"Becaus Becaus12](https://i.servimg.com/u/f19/11/31/00/15/becaus12.jpg)
Une petite photo- jeu: en regardant cela, vous ne penseriez pas comme moi, à un livre et à son auteur ? Allez, qui va trouver le premier ?![Wink](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_wink.gif)
Et très peu de fumeurs ! Un(e) ou deux tout au plus.. C’était pour me faire mentir ! Alors continuez ainsi, je préfère !
C’est Nathalie Castanier, de « Soleil Noir », l’association organisatrice du Festival International du Roman Noir, qui en présentant les deux écrivains de la soirée a en quelque sorte donné le coup d’envoi de ce grand événement annuel qui fête son 10è anniversaire cette année (déjà !)
![Sympathique "café noir " littéraire au"Becaus Becaus11](https://i.servimg.com/u/f19/11/31/00/15/becaus11.jpg)
Autant de femmes que d'hommes, qui écoutent, ce soir-là !
Présentation des deux livres surtout. Les deux écrivains avaient bien punaisé une revue de presse sur un panneau mais trop éloigné des lecteurs, derrière la table des livres, pas facile de la lire….
Donc « Black Août » de Alain Romarin et « Fanzine » de Olivier Martinelli, manifestement des auteurs « du cru » puisque tous deux plantent leur histoire au cœur d’un Montpellier quelque peu transfiguré. Une ville « plongée dans un huis clos obligé »( selon son auteur) à cause d’une pluie rouge qui s’abat sur elle, pour le premier et un Montpelier plus glauque, malgré le manque d’intrigue policière, pour le second. D’autres points communs entre les deux livres avec une certaine noirceur : une femme est au cœur de l’histoire, une certaine forme de « rédemption » s’effectue à la fin du livre et les deux auteurs emploient le « je » pour le narrateur.
![Sympathique "café noir " littéraire au"Becaus Becaus10](https://i.servimg.com/u/f19/11/31/00/15/becaus10.jpg)
Une photo à l'image du Montpellier des deux livres: ensoleillé mais noir, aussi !
Sinon, si la notion de pluie rouge qui s’abat sur la ville implique le thème de l’écologie pour le premier, c’est la musique et le rock, que Martinelli connaît bien à Montpellier, qui baigne son histoire, partie de relations difficiles avec un jeune parent. Autre différence, Romarin a fortement allongé ce qui n’était qu’une nouvelle au départ, alors que « Fanzine » n’est que la moitié en épaisseur de son voisin.
Après avoir évoqué quelques références littéraires, qui donnent donc toute sa teinte à ce « café », qui va poursuivre ce genre d’activité dès septembre, nos deux auteurs ont répondu à une question sur Kérouac et se sont prêtés à des contacts plus rapprochés avec leur public, n’était-ce …..pour vendre leurs livres, qui méritent assurément d’être lus, afin de pouvoir en parler plus savamment..
![Sympathique "café noir " littéraire au"Becaus Becaus12](https://i.servimg.com/u/f19/11/31/00/15/becaus12.jpg)
Une petite photo- jeu: en regardant cela, vous ne penseriez pas comme moi, à un livre et à son auteur ? Allez, qui va trouver le premier ?
![Wink](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_wink.gif)