Pas la grande foule pour cette rencontre poétique au Centre Culturel François Villon ce mercredi 1er août, rencontre qui veut toujours autant en quelque sorte « trinquer » « A la santé des poètes », intitulé que l’association « Humanisme et Culture », avec ses deux piliers frontignanais, Georges et Nicole Drano, conserveront, tant que.... vivront les poètes, leurs grands amis.
Et mercredi soir- comme le lendemain soir à Pézenas où la rencontre se répétait à l’Hôtel des Barons de La Coste – ils étaient trois à venir d’abord lire des poèmes d’un auteur de leur choix (et de leur pays), puis leurs propres poèmes, ceci après une entrée en matière avec un poème en occitan de Serge Bec.
Les trois auteurs honorés ces deux jours-là étaient sans doute liés par deux points communs : leur « méditerranéité » pour Mohammed El Amraoui, d’origine marocaine et Claudio Salvagno, italien, ainsi que leur amour pour la langue française, leur francophilie et leur latinité, puisque Angela Mamier, d’origine roumaine, française depuis vingt ans et frontignanaise depuis deux ans, a aussi lu de ses textes écrits et publiés dans son pays mais aussi des textes récents, écrits en français, les trois auteurs parlant le Français sans problème.
![La poésie, bien vivante à Frontignan, même un 1er août. Soiree11](https://i.servimg.com/u/f18/11/31/00/15/soiree11.jpg)
Auteurs, musicien et lecteurs, à l'ouvrage; au premier plan, Georges Drano
S’il n’y avait pas la quantité parmi le public, il y avait sans doute la qualité, avec la présence d’artistes peintres ayant exposé à Frontignan ainsi que celle d’Alain Combes, adjoint au maire, sensible comme chacun le sait aux choses de l’esprit.
![La poésie, bien vivante à Frontignan, même un 1er août. Soiree12](https://i.servimg.com/u/f18/11/31/00/15/soiree12.jpg)
Monsieur l'adjoint apprécie en connaisseur; la lectrice:Nicole Drano-Stamberg
Donc, après la lecture par Mohammed El Amraoui de poèmes de Anas Alaili, de textes de Nichita Stanescu par Angela Mamier et de poèmes de Camillo Sbarbaro par Claudio Salvagno, chaque auteur invité a pu livrer une partie de son œuvre à un public fervent toujours aussi ravi d’accompagner ces créateurs dans leur monde poétique.
![La poésie, bien vivante à Frontignan, même un 1er août. Soiree10](https://i.servimg.com/u/f18/11/31/00/15/soiree10.jpg)
Mignonnes, oui, les roses étaient bien là !
Mais quand la muse parle, comme avec Orphée, la musique n’est pas loin et ces deux soirs-là, c’est un Norédine Mezouar particulièrement inspiré et en forme qui a assuré avec son luth des intermèdes typiques et harmonieux du Maghreb.
D’où la belle santé, affirmée, de tous ces poètes, passés et à venir, qui a été saluée par de douces coulées dorées de muscat de Frontignan, doux ou sec, nectar idéal et généreusement offert par les producteurs locaux.
Des dates à retenir, à Frontignan, pour de prochaines séances de poésie tout aussi enrichissantes : le 12 octobre, les 21, 22, 23 et 24 novembre et le 7 décembre. Nous en reparlerons.
Et mercredi soir- comme le lendemain soir à Pézenas où la rencontre se répétait à l’Hôtel des Barons de La Coste – ils étaient trois à venir d’abord lire des poèmes d’un auteur de leur choix (et de leur pays), puis leurs propres poèmes, ceci après une entrée en matière avec un poème en occitan de Serge Bec.
Les trois auteurs honorés ces deux jours-là étaient sans doute liés par deux points communs : leur « méditerranéité » pour Mohammed El Amraoui, d’origine marocaine et Claudio Salvagno, italien, ainsi que leur amour pour la langue française, leur francophilie et leur latinité, puisque Angela Mamier, d’origine roumaine, française depuis vingt ans et frontignanaise depuis deux ans, a aussi lu de ses textes écrits et publiés dans son pays mais aussi des textes récents, écrits en français, les trois auteurs parlant le Français sans problème.
![La poésie, bien vivante à Frontignan, même un 1er août. Soiree11](https://i.servimg.com/u/f18/11/31/00/15/soiree11.jpg)
Auteurs, musicien et lecteurs, à l'ouvrage; au premier plan, Georges Drano
S’il n’y avait pas la quantité parmi le public, il y avait sans doute la qualité, avec la présence d’artistes peintres ayant exposé à Frontignan ainsi que celle d’Alain Combes, adjoint au maire, sensible comme chacun le sait aux choses de l’esprit.
![La poésie, bien vivante à Frontignan, même un 1er août. Soiree12](https://i.servimg.com/u/f18/11/31/00/15/soiree12.jpg)
Monsieur l'adjoint apprécie en connaisseur; la lectrice:Nicole Drano-Stamberg
Donc, après la lecture par Mohammed El Amraoui de poèmes de Anas Alaili, de textes de Nichita Stanescu par Angela Mamier et de poèmes de Camillo Sbarbaro par Claudio Salvagno, chaque auteur invité a pu livrer une partie de son œuvre à un public fervent toujours aussi ravi d’accompagner ces créateurs dans leur monde poétique.
![La poésie, bien vivante à Frontignan, même un 1er août. Soiree10](https://i.servimg.com/u/f18/11/31/00/15/soiree10.jpg)
Mignonnes, oui, les roses étaient bien là !
Mais quand la muse parle, comme avec Orphée, la musique n’est pas loin et ces deux soirs-là, c’est un Norédine Mezouar particulièrement inspiré et en forme qui a assuré avec son luth des intermèdes typiques et harmonieux du Maghreb.
D’où la belle santé, affirmée, de tous ces poètes, passés et à venir, qui a été saluée par de douces coulées dorées de muscat de Frontignan, doux ou sec, nectar idéal et généreusement offert par les producteurs locaux.
Des dates à retenir, à Frontignan, pour de prochaines séances de poésie tout aussi enrichissantes : le 12 octobre, les 21, 22, 23 et 24 novembre et le 7 décembre. Nous en reparlerons.