Non ce n’était pas un hold- up ce matin, dans une pharmacie du centre ville, mais ce fut tout comme, quand un jeune homme est entré en présentant un petit bocal de verre, fermé par un couvercle, qui contenait « une chose ». Et les préparatrices de pousser les hauts cris !
Manifestement, le monsieur voulait savoir ce que c’était et sa dangerosité. Les dames, un peu perdues, auraient volontiers poursuivi leurs recherches si le monsieur avait apporté des champignons mais…..une araignée, car c’en était une, pas question !
Toutefois, M.le pharmacien n’était pas loin et fut appelé par son personnel. Un grand sourire vint illuminer le visage du patron qui déclara : « Ah, mais c’est une simple, brave et belle épeire…. ! » Et de décrire un peu l’animal, ses petits etc….
En entendant cela, l’image de l’épeire diadème me vint à l’esprit, celle d’une magnifique araignée, tout à fait commune dans les greniers et granges de notre enfance. Une magnifique araignée de deux centimètres effectivement, pour la femelle, avec ses taches en forme de croix si caractéristique- d’où le « diadème-. Et ses belles toiles, qu’elle refait chaque matin en mangeant la précédente, qu’elle ne sait pas réparer….
Tout un poème cette belle araignée, inoffensive et utile, qui venait de Mireval et qui allait probablement y retourner, rassuré que fut le monsieur par notre pharmacien érudit et donc pas du tout coupé de notre belle et riche nature environnante.
Manifestement, le monsieur voulait savoir ce que c’était et sa dangerosité. Les dames, un peu perdues, auraient volontiers poursuivi leurs recherches si le monsieur avait apporté des champignons mais…..une araignée, car c’en était une, pas question !
Toutefois, M.le pharmacien n’était pas loin et fut appelé par son personnel. Un grand sourire vint illuminer le visage du patron qui déclara : « Ah, mais c’est une simple, brave et belle épeire…. ! » Et de décrire un peu l’animal, ses petits etc….
En entendant cela, l’image de l’épeire diadème me vint à l’esprit, celle d’une magnifique araignée, tout à fait commune dans les greniers et granges de notre enfance. Une magnifique araignée de deux centimètres effectivement, pour la femelle, avec ses taches en forme de croix si caractéristique- d’où le « diadème-. Et ses belles toiles, qu’elle refait chaque matin en mangeant la précédente, qu’elle ne sait pas réparer….
Tout un poème cette belle araignée, inoffensive et utile, qui venait de Mireval et qui allait probablement y retourner, rassuré que fut le monsieur par notre pharmacien érudit et donc pas du tout coupé de notre belle et riche nature environnante.