Bon, c’est à ma ville, que je vais aussi souhaiter une excellente année. Je dis « ma ville » mais elle ne « m’appartient » que depuis deux ans. C’est dire si la greffe est encore fragile….. !
Mais quand même. Après en avoir eu une certaine expérience avec une proximité fréquente et rapprochée avec beaucoup de frontignanais, je vais oser émettre quelques petites considérations personnelles, pour alimenter un débat qui a d’ailleurs déjà commencé, ici ou ailleurs…
J’aimerais trouver, disons « une équipe » de décideurs, nos représentants,
- qui donne envie à beaucoup d’entre nous de sortir de chez soi, pour rencontrer des gens, à l’occasion d’événements, qui nous feraient dire après coup, « c’était chouette, je ne regrette pas ».
- qui sache écouter la population et tenir compte de leurs desiderata. Je signalerai au passage la petite coutume démocratique qui faisait qu’à Villeneuve lès Maguelone, le maire autorisait le public à intervenir, en prenant la parole, après la clôture du conseil municipal. Je l’ai aussi vu en Normandie. Ca ne gâche rien et n’a jamais provoqué de grandes révolutions.
- Qui sachent mettre en valeur la mer et le massif de la Gardiole, en y liant la culture, le ludique,le sport, les familles et les jeunes.
- Qui faciliterait la communication entre les générations, entre jeunes et anciens, enles faisant dialoguer et/ou travailler ensemble
- Qui faciliterait aussi les relations internationales entre les jeunes.
Je verrais aussi bien une salle de spectacle plus petite que celle de l’Aire, plus grande que celle de Villon et mieux éclairée, plus fonctionnelle, pour des événements culturels accessibles à tous et moins coûteux.
J’apprécierais aussi l’existence d’un petit journal où l’on trouverait tout ce qu’on ne trouve pas dans les autres, organes officiellement consacrés. On y lirait la vie des sans-grade, des anonymes, des héros de l’ombre, des oubliés et des exclus, des anciens et des jeunes, qui peuvent et doivent aussi avoir la parole.
Autant les jeunes du LEPAP Clavel se montrent ouverts sur leur environnement, grâce à leurs thèmes de travaux et à leurs valeureux enseignants, autant je trouve qu’il y a peu de choses qui transpirent des deux collèges de la ville.
S’il y avait aussi une fanfare ou harmonie digne de ce nom qui prenait forme dans cette ville- qui forme des jeunes musiciens, que je sache- j’y engagerais ( avec bien d’autres, je suis sûr) mes modestes compétences de saxophoniste.
J’aimerais aussi trouver plus de spontanéité et de naturel dans la création d’événements festifs et conviviaux, qui sans besoin de passer par clubs ou associations, feraient qu’on se retrouverait plus facilement pour une marche à pied ou un jogging dans la Gardiole, une partie de tarots dans un troquet- désormais non fumeurs, n’oublions pas !- ou un débat à bâtons rompus sur tel ou tel sujet.
L’esprit de ces ambitions, c’est d’aller plus loin, de sortir des « cadres officiels » imposés par d’immuables habitudes et traditions locales qui font que « ça fonctionne comme ça depuis toujours, alors pas de raison de changer quoi que ce soit ». Et si on améliorait certaines formules existantes ? Et si nous en proposions de nouvelles ? La vie est riche et multiple. Elargissons le panorama que nous en avons sur elle, ici à Frontignan.
Mais quand même. Après en avoir eu une certaine expérience avec une proximité fréquente et rapprochée avec beaucoup de frontignanais, je vais oser émettre quelques petites considérations personnelles, pour alimenter un débat qui a d’ailleurs déjà commencé, ici ou ailleurs…
J’aimerais trouver, disons « une équipe » de décideurs, nos représentants,
- qui donne envie à beaucoup d’entre nous de sortir de chez soi, pour rencontrer des gens, à l’occasion d’événements, qui nous feraient dire après coup, « c’était chouette, je ne regrette pas ».
- qui sache écouter la population et tenir compte de leurs desiderata. Je signalerai au passage la petite coutume démocratique qui faisait qu’à Villeneuve lès Maguelone, le maire autorisait le public à intervenir, en prenant la parole, après la clôture du conseil municipal. Je l’ai aussi vu en Normandie. Ca ne gâche rien et n’a jamais provoqué de grandes révolutions.
- Qui sachent mettre en valeur la mer et le massif de la Gardiole, en y liant la culture, le ludique,le sport, les familles et les jeunes.
- Qui faciliterait la communication entre les générations, entre jeunes et anciens, enles faisant dialoguer et/ou travailler ensemble
- Qui faciliterait aussi les relations internationales entre les jeunes.
Je verrais aussi bien une salle de spectacle plus petite que celle de l’Aire, plus grande que celle de Villon et mieux éclairée, plus fonctionnelle, pour des événements culturels accessibles à tous et moins coûteux.
J’apprécierais aussi l’existence d’un petit journal où l’on trouverait tout ce qu’on ne trouve pas dans les autres, organes officiellement consacrés. On y lirait la vie des sans-grade, des anonymes, des héros de l’ombre, des oubliés et des exclus, des anciens et des jeunes, qui peuvent et doivent aussi avoir la parole.
Autant les jeunes du LEPAP Clavel se montrent ouverts sur leur environnement, grâce à leurs thèmes de travaux et à leurs valeureux enseignants, autant je trouve qu’il y a peu de choses qui transpirent des deux collèges de la ville.
S’il y avait aussi une fanfare ou harmonie digne de ce nom qui prenait forme dans cette ville- qui forme des jeunes musiciens, que je sache- j’y engagerais ( avec bien d’autres, je suis sûr) mes modestes compétences de saxophoniste.
J’aimerais aussi trouver plus de spontanéité et de naturel dans la création d’événements festifs et conviviaux, qui sans besoin de passer par clubs ou associations, feraient qu’on se retrouverait plus facilement pour une marche à pied ou un jogging dans la Gardiole, une partie de tarots dans un troquet- désormais non fumeurs, n’oublions pas !- ou un débat à bâtons rompus sur tel ou tel sujet.
L’esprit de ces ambitions, c’est d’aller plus loin, de sortir des « cadres officiels » imposés par d’immuables habitudes et traditions locales qui font que « ça fonctionne comme ça depuis toujours, alors pas de raison de changer quoi que ce soit ». Et si on améliorait certaines formules existantes ? Et si nous en proposions de nouvelles ? La vie est riche et multiple. Elargissons le panorama que nous en avons sur elle, ici à Frontignan.