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C’est ce dernier samedi soir qu’a eu lieu le vernissage de l’exposition de la rétrospective de Françoise Reboul , à la salle Izzo, sous l’égide de l’association des 4 Saisons, dont fait partie l’artiste.
Françoise Reboul, en excellente compagnie, avec Maurice Nougaret
Françoise Reboul présente un impressionnant « press-book ». Pas surprenant, quand on saura qu’elle obtient des mentions et des prix – Sept en tout- à partir de 1974. Que ce soit à Vienne (Isère), à Montpellier( au Salon de la peinture de la Chambre Economique, à la Foire de la Vigne et du Vin), au salon International de Béziers…., elle accumule les distinctions qui la mettent sur la voie largement ouverte d’un succès d’estime.
Comme la peinture est une thérapie et un plaisir, Françoise Reboul passe de l’aquarelle à la peinture à l’huile et alors la galerie Emeraude de St Jean de Védas s’intéresse désormais à elle, mais elle est aussi l’auteur d’une fresque murale extérieure à l’Institut St Pierre de Palavas.
Elle ordonne ses tableaux selon des thèmes inspirés de l’espace méditerranéen riche en couleurs, même parfois appuyées. , dans un style classique, sage , ordonné, qui s’interdit les audaces qui choqueraient un public qui attend une peinture chatoyante et un peu naïve de la nature, presque photographiée parfois.
Des portraits intéressants et même un vitrail
Françoise Reboul s’attache à la beauté des formes et recrée un paradis perdu, bucolique et poétique.. Le thème des vignes nous semble le plus réussi, les allusions à la maternité aussi.
Son trait vigoureux la dessert parfois mais cette force et cette vivacité crèvent l’écran et remplissent l’espace et le regard de messages clairs et pleins d’humanisme.
La vie des gens lui inspire des élans picturaux sincères avec le souci majeur de laisser la marque du temps et de son passage sur cette terre. Tout un programme qui pourrait encore nous surprendre à l’avenir….
Peintre et à l’occasion poétesse qui « De rose un fard/Pique mes joues/ Car j’ose, Ronsard/ Copier sur vous…. », Françoise Reboul vit sur un nuage et le chevalet et la plume sont sans aucun doute ses deux premiers bonheurs. : « Mon cœur, s’il vibre / Trop ardemment/ Sans peur se livre/ Abondamment. »
Quant à ce qu’elle pense du qu’en dira-t-on de son œuvre, nous sommes rassurés, elle n’en fait pas un fromage : « Je n’ai que faire/ De la critique/ Je sais cet air/ Systématique/ ».
Méfiance quand même, la vérité est toujours au milieu !
Jusqu’au 10 février à la salle Izzo. De 9h à 12h et de 14h à 18h.
Françoise Reboul, en excellente compagnie, avec Maurice Nougaret
Françoise Reboul présente un impressionnant « press-book ». Pas surprenant, quand on saura qu’elle obtient des mentions et des prix – Sept en tout- à partir de 1974. Que ce soit à Vienne (Isère), à Montpellier( au Salon de la peinture de la Chambre Economique, à la Foire de la Vigne et du Vin), au salon International de Béziers…., elle accumule les distinctions qui la mettent sur la voie largement ouverte d’un succès d’estime.
Comme la peinture est une thérapie et un plaisir, Françoise Reboul passe de l’aquarelle à la peinture à l’huile et alors la galerie Emeraude de St Jean de Védas s’intéresse désormais à elle, mais elle est aussi l’auteur d’une fresque murale extérieure à l’Institut St Pierre de Palavas.
Elle ordonne ses tableaux selon des thèmes inspirés de l’espace méditerranéen riche en couleurs, même parfois appuyées. , dans un style classique, sage , ordonné, qui s’interdit les audaces qui choqueraient un public qui attend une peinture chatoyante et un peu naïve de la nature, presque photographiée parfois.
Des portraits intéressants et même un vitrail
Françoise Reboul s’attache à la beauté des formes et recrée un paradis perdu, bucolique et poétique.. Le thème des vignes nous semble le plus réussi, les allusions à la maternité aussi.
Son trait vigoureux la dessert parfois mais cette force et cette vivacité crèvent l’écran et remplissent l’espace et le regard de messages clairs et pleins d’humanisme.
La vie des gens lui inspire des élans picturaux sincères avec le souci majeur de laisser la marque du temps et de son passage sur cette terre. Tout un programme qui pourrait encore nous surprendre à l’avenir….
Peintre et à l’occasion poétesse qui « De rose un fard/Pique mes joues/ Car j’ose, Ronsard/ Copier sur vous…. », Françoise Reboul vit sur un nuage et le chevalet et la plume sont sans aucun doute ses deux premiers bonheurs. : « Mon cœur, s’il vibre / Trop ardemment/ Sans peur se livre/ Abondamment. »
Quant à ce qu’elle pense du qu’en dira-t-on de son œuvre, nous sommes rassurés, elle n’en fait pas un fromage : « Je n’ai que faire/ De la critique/ Je sais cet air/ Systématique/ ».
Méfiance quand même, la vérité est toujours au milieu !
Jusqu’au 10 février à la salle Izzo. De 9h à 12h et de 14h à 18h.
