Nicole Drano Stamberg
Nicole Drano Stamberg est une écrivaine qui s’inscrit sur l’orbite d’un néo-lyrisme assumé, légèrement provocateur et d’une sensibilité aiguë , moderne, difficile à étiqueter…
Elle est douée d'une volonté évidente d’en finir avec les vieilleries.Elle déploie l’énergie de l’auteur qui fuit l’inertie. Parfois elle pousse ses recherches vers des horizons nouveaux ,construisant le poème autour de bruits et onomatopées, créant un lien avec la symphonie de la nature.
Nicole Drano mélange lyrisme et lucidité dramatique, propre à un auteur qui nous plonge dans son imaginaire inquiet. Ses recueils sont des débats intérieurs dans leurs quêtes espérées d’un apaisement.La poétesse interroge nos peurs et nos joies dans le dédale tourmenté de la vie.
![Ateliers Portes Ouvertes: Georges et Nicole Drano Portes31](https://i.servimg.com/u/f42/11/02/60/77/portes31.jpg)
Nicole Drano, en lecture de ses poèmes, chez Véronique Agostini
Georges Drano
Auteur d’une trentaine de volumes , Georges Drano est un amoureux des paysages et des mots.
C'est un poète qui met au même niveau l’imagination et la réflexion, qui esquisse des silences , les interroge avec l’intuition de révélations suspendues dans l’attente d’une âme poétique.
Poète énigmatique,Georges Drano écrit une poésie qui est à l’image de sa terre bretonne natale et de ses menhirs silencieux.
Les mots lui viennent des ténèbres à la lumière.Georges Drano a le talent « rocailleux » : il se pose des questions essentielles et va, « assoiffé », vers le mot essentiel. Il faut croire qu’il en fait sa mission poétique, un credo qui mènent à ces rencontres incantatoires avec les muses. Avec Georges Drano, le temps s’arrête , ses poèmes permettent une « sortie du temps », raffinée et complexe.
Poésie tragique, solennelle et consolante à la fois, que celle deGeorges Drano.
Un poète qui s’inscrit, serein ,et avec élégance dans la poésie de l’humanité.
Et Georges, qui évoque "les paysages de vie", "le sel cueilli qui ne s'éteint pas..." dans les magnifiques marais salants de Guérande, chers à son coeur de Breton.
Nicole Drano Stamberg est une écrivaine qui s’inscrit sur l’orbite d’un néo-lyrisme assumé, légèrement provocateur et d’une sensibilité aiguë , moderne, difficile à étiqueter…
Elle est douée d'une volonté évidente d’en finir avec les vieilleries.Elle déploie l’énergie de l’auteur qui fuit l’inertie. Parfois elle pousse ses recherches vers des horizons nouveaux ,construisant le poème autour de bruits et onomatopées, créant un lien avec la symphonie de la nature.
Nicole Drano mélange lyrisme et lucidité dramatique, propre à un auteur qui nous plonge dans son imaginaire inquiet. Ses recueils sont des débats intérieurs dans leurs quêtes espérées d’un apaisement.La poétesse interroge nos peurs et nos joies dans le dédale tourmenté de la vie.
![Ateliers Portes Ouvertes: Georges et Nicole Drano Portes31](https://i.servimg.com/u/f42/11/02/60/77/portes31.jpg)
Nicole Drano, en lecture de ses poèmes, chez Véronique Agostini
Georges Drano
Auteur d’une trentaine de volumes , Georges Drano est un amoureux des paysages et des mots.
C'est un poète qui met au même niveau l’imagination et la réflexion, qui esquisse des silences , les interroge avec l’intuition de révélations suspendues dans l’attente d’une âme poétique.
Poète énigmatique,Georges Drano écrit une poésie qui est à l’image de sa terre bretonne natale et de ses menhirs silencieux.
Les mots lui viennent des ténèbres à la lumière.Georges Drano a le talent « rocailleux » : il se pose des questions essentielles et va, « assoiffé », vers le mot essentiel. Il faut croire qu’il en fait sa mission poétique, un credo qui mènent à ces rencontres incantatoires avec les muses. Avec Georges Drano, le temps s’arrête , ses poèmes permettent une « sortie du temps », raffinée et complexe.
Poésie tragique, solennelle et consolante à la fois, que celle deGeorges Drano.
Un poète qui s’inscrit, serein ,et avec élégance dans la poésie de l’humanité.
![Ateliers Portes Ouvertes: Georges et Nicole Drano Portes30](https://i.servimg.com/u/f42/11/02/60/77/portes30.jpg)
Et Georges, qui évoque "les paysages de vie", "le sel cueilli qui ne s'éteint pas..." dans les magnifiques marais salants de Guérande, chers à son coeur de Breton.