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Une grande soirée, presque les pieds dans l’eau, comme le dit l’exposition à la salle Izzo, hier soir mercredi sur le plan du Bassin, où était amarrée la péniche « Tourmente » (tout un programme !), équipée, comme chaque année, paraît-il, en scène de spectacle, pour le « Festival Convivencia ».
Lequel présentait deux spectacles très différents : un récital d’André Minvielle et un concert de Robert Santiago y su tipico, avec sa musique sud américaine. Et pour cette soirée, le grand public, dans tous les sens du mot, s’était donné rendez-vous.
D’abord parce que le temps, d’une douceur estivale absolue, s’y prêtait. Parce que l’association « Los Ventres Blus » proposaient une formule dinatoire à 5€ avec une brasucade de moules , faite maison c’est-à-dire sur place, une part de tarte à l’oignon, un demi melon au muscat et un verre de vin blanc. Comparée à d’autres formules « du sud », disons, un peu plus réduites, pour le même prix, cette proposition a créé une énorme queue afin de satisfaire sa faim, sa soif et de trouver une place assise aux tables dressées sur le quai , devant la péniche.
Sur le coup de 21h30, on pouvait sans doute compter entre 500 et 700 personnes(peut-être plus?), assises, aux tables, par terre ou debout, le plus souvent, pour écouter notre artiste en scène.
Alors, cet artiste atypique aux multiples talents, à l’expérience solide, aux réalisations multiples en matière de chant, de musique, « le deuxième homme » de la Compagnie Bernard Lubat arrivé dernièrement sur un fantastique projet « Suivez l’accent », parrainé par la veuve de Claude Nougaro, consistant à fédérer tous les accents du monde francophone, cet artiste pas comme les autres, a alors déployé tout son savoir-faire rythmique et de bousculeur de mots et paroles, pour conter au public une histoire faite de nombreux voyages et rencontres, riches en illustrations sonores, typiquement minviellesques !
Le public, nombreux –parmi lequel se trouvaient un grand saxophoniste de renommée mondiale, Michel Huq ainsi que la fille du jazzman Claude Luter-
a apporté toute son attention à cet artiste du sud- parce que béarnais- des plus cotés quand il s’agit d’animer de tels festivals rassemblant des populations diverses du pays.
Si du côté des Ventres Blus, on s’agitait autour des moules –quel parfum !-
et des melons,
les enfants, eux retrouvaient une aire de jeux à proximité
devant laquelle, papis et mamies écoutaient sagement le chanteur.
C’est vers 22h30 que le style a changé avec de la musique sud- américaine, chacha, boléro, mambo cubain et autre valse péruvienne, venant soulever quelques envies de danser pour poursuivre cette chaude nuit au bord du canal.
Sans doute une pause en matière de rythmes effrénés et de grosse fréquentation du public, ce soir, avec « A la santé des Poètes », au Parc Victor Hugo, à 18h30,mais le flamenco reviendra ce week-end redonner une vie trépidante à tout ce Sud qui vient chaque année flamboyer ici à Frontignan.l
Lequel présentait deux spectacles très différents : un récital d’André Minvielle et un concert de Robert Santiago y su tipico, avec sa musique sud américaine. Et pour cette soirée, le grand public, dans tous les sens du mot, s’était donné rendez-vous.
D’abord parce que le temps, d’une douceur estivale absolue, s’y prêtait. Parce que l’association « Los Ventres Blus » proposaient une formule dinatoire à 5€ avec une brasucade de moules , faite maison c’est-à-dire sur place, une part de tarte à l’oignon, un demi melon au muscat et un verre de vin blanc. Comparée à d’autres formules « du sud », disons, un peu plus réduites, pour le même prix, cette proposition a créé une énorme queue afin de satisfaire sa faim, sa soif et de trouver une place assise aux tables dressées sur le quai , devant la péniche.
Sur le coup de 21h30, on pouvait sans doute compter entre 500 et 700 personnes(peut-être plus?), assises, aux tables, par terre ou debout, le plus souvent, pour écouter notre artiste en scène.
Alors, cet artiste atypique aux multiples talents, à l’expérience solide, aux réalisations multiples en matière de chant, de musique, « le deuxième homme » de la Compagnie Bernard Lubat arrivé dernièrement sur un fantastique projet « Suivez l’accent », parrainé par la veuve de Claude Nougaro, consistant à fédérer tous les accents du monde francophone, cet artiste pas comme les autres, a alors déployé tout son savoir-faire rythmique et de bousculeur de mots et paroles, pour conter au public une histoire faite de nombreux voyages et rencontres, riches en illustrations sonores, typiquement minviellesques !
Le public, nombreux –parmi lequel se trouvaient un grand saxophoniste de renommée mondiale, Michel Huq ainsi que la fille du jazzman Claude Luter-
a apporté toute son attention à cet artiste du sud- parce que béarnais- des plus cotés quand il s’agit d’animer de tels festivals rassemblant des populations diverses du pays.
Si du côté des Ventres Blus, on s’agitait autour des moules –quel parfum !-
et des melons,
les enfants, eux retrouvaient une aire de jeux à proximité
devant laquelle, papis et mamies écoutaient sagement le chanteur.
C’est vers 22h30 que le style a changé avec de la musique sud- américaine, chacha, boléro, mambo cubain et autre valse péruvienne, venant soulever quelques envies de danser pour poursuivre cette chaude nuit au bord du canal.
Sans doute une pause en matière de rythmes effrénés et de grosse fréquentation du public, ce soir, avec « A la santé des Poètes », au Parc Victor Hugo, à 18h30,mais le flamenco reviendra ce week-end redonner une vie trépidante à tout ce Sud qui vient chaque année flamboyer ici à Frontignan.l
