On parlait déjà de livres jeudi soir à Frontignan. Pas à la bibliothèque ou au centre culturel, mais dans un bar. Le Because. Pour Bernadette Dubus, à la fois Vicoise et frontignanaise, parler d’elle, en public, de ses romans, de « son « écriture, son dada, sa spécialité, sa passion, c’était une première avec ce que cela comporte de trac, mais le cadre gai et coloré du bar, les livres qu’on peut y trouver et emprunter gratuitement ( sans doute unique à Frontignan), la qualité amicale de la bonne petite assistance présente,
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_12](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_12.jpg)
l’ont aidée à développer tout ce qu’elle voulait dire.
Après avoir été présentée par une autre spécialiste des livres, bibliothécaire à Sète,
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_10](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_10.jpg)
qui a évoqué le parcours de Bernadette : Maroc, enseignement, écriture de 13 livres, création récente de l’association « Clair de Plume », animation et cours sur le thème de l’Ecriture, toujours et encore, création, aussi, du petit journal « Gardiolarem », bimensuel gratuit distribué sur tout le secteur villageois de la Gardiole et la liste est sans doute loin d’être terminée…., Bernadette s’est lancée dans son roman personnel,
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_11](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_11.jpg)
celui de ses relations avec l’écriture. Avec pour support son treizième livre, « Un mur de trop », dont elle a expliqué l’illustration de la couverture et présenté la trame : une histoire d’anticipation où l’écriture manuscrite n’existe plus dans les années 4000 après Jésus-Christ !
Puis, à la demande du public, ses réponses nous l’ont montrée en train d’écrire surtout le matin, en connaissant le début et la fin du livre et sans plan préalable.
Pour ses romans policiers- car elle écrit aussi des « polars »- elle s’arme de toutes sortes de documentations et de conseils de professionnels, avant de s’acharner à « perdre le lecteur » en conjectures, alors qu’elle seule connaît le coupable et ce, vers une fin parfois imprévue, même par elle.
Tout un art, une façon de procéder, quoi, avec ses satisfactions et ses petites déconvenues propres aux auteurs d’aujourd’hui qui désirent publier, que Bernadette nous a fait découvrir, en toute simplicité, avant que Sandra et Sally, les prévenantes et accueillantes maîtresses des lieux,
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_13](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_13.jpg)
ne viennent servir de délicieuses pizzas chaudes et bien sûr le verre de l’amitié indispensable à ce genre de rencontre.
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_14](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_14.jpg)
Le Because était un bar, oui, mais aussi, un salon où l’on cause, de livres, de culture, d’amitié, de la vie….
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_15](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_15.jpg)
Et bien sûr, pas de livre, sans dédicace de l'auteur !
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_12](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_12.jpg)
l’ont aidée à développer tout ce qu’elle voulait dire.
Après avoir été présentée par une autre spécialiste des livres, bibliothécaire à Sète,
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_10](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_10.jpg)
qui a évoqué le parcours de Bernadette : Maroc, enseignement, écriture de 13 livres, création récente de l’association « Clair de Plume », animation et cours sur le thème de l’Ecriture, toujours et encore, création, aussi, du petit journal « Gardiolarem », bimensuel gratuit distribué sur tout le secteur villageois de la Gardiole et la liste est sans doute loin d’être terminée…., Bernadette s’est lancée dans son roman personnel,
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_11](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_11.jpg)
celui de ses relations avec l’écriture. Avec pour support son treizième livre, « Un mur de trop », dont elle a expliqué l’illustration de la couverture et présenté la trame : une histoire d’anticipation où l’écriture manuscrite n’existe plus dans les années 4000 après Jésus-Christ !
Puis, à la demande du public, ses réponses nous l’ont montrée en train d’écrire surtout le matin, en connaissant le début et la fin du livre et sans plan préalable.
Pour ses romans policiers- car elle écrit aussi des « polars »- elle s’arme de toutes sortes de documentations et de conseils de professionnels, avant de s’acharner à « perdre le lecteur » en conjectures, alors qu’elle seule connaît le coupable et ce, vers une fin parfois imprévue, même par elle.
Tout un art, une façon de procéder, quoi, avec ses satisfactions et ses petites déconvenues propres aux auteurs d’aujourd’hui qui désirent publier, que Bernadette nous a fait découvrir, en toute simplicité, avant que Sandra et Sally, les prévenantes et accueillantes maîtresses des lieux,
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_13](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_13.jpg)
ne viennent servir de délicieuses pizzas chaudes et bien sûr le verre de l’amitié indispensable à ce genre de rencontre.
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_14](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_14.jpg)
Le Because était un bar, oui, mais aussi, un salon où l’on cause, de livres, de culture, d’amitié, de la vie….
![Entre les murs du Because: Bernadette Dubus Dubus_15](https://i.servimg.com/u/f32/11/02/60/77/dubus_15.jpg)
Et bien sûr, pas de livre, sans dédicace de l'auteur !