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Ce sont environ quarante personnes qui se sont sagement installées au Bar le Because hier soir jeudi, pour écouter Maurice Nougaret parler de l’histoire de Frontignan.
Qu’on soit déjà bien au fait de tous ces faits historiques que contiennent les archives existantes- comme Jean Valette- ou simple amateur d’histoire locale ou amoureux et grand connaisseur de sa région- n’est-ce pas Jean Aligrin ?!-toute l’assistance s’est régalée de cette chronologie exposée par Maurice, depuis les premiers temps vers les années 900, jusqu’à la Révolution, en passant par le Moyen-Age. C’est un voyage dans le temps avec faits, anecdotes, légendes, pimentés d’humour que nous a invité à suivre notre « Alain Decaux » local !
Ce voyage a donc été complété par quelques interventions de ceux qui s’attachent au passé de la ville et aux traces qu’il a pu y laisser, en faisant remarquer à mi-mot que des efforts resteraient peut-être à faire pour le mettre en valeur. Nous avons bien sûr notre Daniel Gallardo national qui fait ressortir ce passé dans ses visites de l’église St Paul mais avec l’avènement des prochaines archives municipales, enfin toutes officiellement regroupées- car encore « éclatées » en trois lieux de la ville- aux chais du quai Voltaire, l’histoire de Frontignan devrait prendre enfin corps et susciter plus d’intérêt chez les spécialistes comme chez le public.
Qu’on soit déjà bien au fait de tous ces faits historiques que contiennent les archives existantes- comme Jean Valette- ou simple amateur d’histoire locale ou amoureux et grand connaisseur de sa région- n’est-ce pas Jean Aligrin ?!-toute l’assistance s’est régalée de cette chronologie exposée par Maurice, depuis les premiers temps vers les années 900, jusqu’à la Révolution, en passant par le Moyen-Age. C’est un voyage dans le temps avec faits, anecdotes, légendes, pimentés d’humour que nous a invité à suivre notre « Alain Decaux » local !
Ce voyage a donc été complété par quelques interventions de ceux qui s’attachent au passé de la ville et aux traces qu’il a pu y laisser, en faisant remarquer à mi-mot que des efforts resteraient peut-être à faire pour le mettre en valeur. Nous avons bien sûr notre Daniel Gallardo national qui fait ressortir ce passé dans ses visites de l’église St Paul mais avec l’avènement des prochaines archives municipales, enfin toutes officiellement regroupées- car encore « éclatées » en trois lieux de la ville- aux chais du quai Voltaire, l’histoire de Frontignan devrait prendre enfin corps et susciter plus d’intérêt chez les spécialistes comme chez le public.
