Mes pauvvres (anciens) collègues n'ont pas intérêt à savoir ce qu'il m'est arrivé quand "je l'ai ouverte" il y a deux ans-d'une manière pourtant justifiée et libre, je croyais-sur le blog.....des correspondants de presse de Midi Libre( qui est dans quel état aujourd'hui ?).
La situation de la presse écrite est devenue si précaire aujourd'hui, qu'il ne faut plus attendre de cadeaux de sa part. Maintenant, ses problèmes, elle les a créés elle-même, en grande partie. Mais c'est une autre histoire....
Ceci dit, je déplore les conditions qui sont faites à tous les CLP de France. Taillables et corvéables à merci, faisant parfois le travail des pros, ridiculement payés mais surtout....par trop méprisés par leurs directions. Un des assistants de la rédaction de Sète, pour la page de Frontignan, a attendu un an avant de voir son nom et son téléphone mentionnés dans l'agenda de la page. Qu'est-ce qui a empêché la rédaction(d'alors) d'ajouter tout simplement ces deux lignes- comme cela se faisait avant-, si nécessaires au bon fonctionnement du service entre le correspondant et les lecteurs? Le pauvre, il se pointait, sans véritable identité. Et après on va se plaindre de la baisse des ventes.....?Quant aux porteurs, les cinquièmes roues du carrosse, j'en connais un qui pourrait en parler savamment....