![La Roumanie s'expose salle Izzo jusqu'à dimanche Dsc_0910](https://i.servimg.com/u/f86/13/48/86/77/dsc_0910.jpg)
![La Roumanie s'expose salle Izzo jusqu'à dimanche Dsc_0915](https://i.servimg.com/u/f86/13/48/86/77/dsc_0915.jpg)
![La Roumanie s'expose salle Izzo jusqu'à dimanche Dsc_0913](https://i.servimg.com/u/f86/13/48/86/77/dsc_0913.jpg)
![La Roumanie s'expose salle Izzo jusqu'à dimanche Dsc_0911](https://i.servimg.com/u/f86/13/48/86/77/dsc_0911.jpg)
![La Roumanie s'expose salle Izzo jusqu'à dimanche Dsc_0914](https://i.servimg.com/u/f86/13/48/86/77/dsc_0914.jpg)
![La Roumanie s'expose salle Izzo jusqu'à dimanche Dsc_0916](https://i.servimg.com/u/f86/13/48/86/77/dsc_0916.jpg)
![La Roumanie s'expose salle Izzo jusqu'à dimanche Dsc_0912](https://i.servimg.com/u/f86/13/48/86/77/dsc_0912.jpg)
Il y a de jolies choses à voir sur la Roumanie à la salle Izzo depuis ce vendredi 13 au soir et ce, jusqu’à dimanche 15.Costumes traditionnels tissages, poteries, peintures, dessins, brochures touristiques etc….c’est que se tiennent pour la 21è fois, les rencontres franco-roumaines, entre Frontignan et Botosani, en Moldavie roumaine, qu’organise l’association « Dacia-Méditerranée » basée maintenant à Frontignan, puisqu’elle est présidée par Nicole Sandrin, ancienne principale du collège Simone de Beauvoir à la Peyrade. Une année c’est Frontignan qui reçoit, l’année suivante, c’est Botosani. Cette année, les amis Roumains sont de retour et étaient ce vendredi soir à l’honneur pour le vernissage de l’exposition présentée à la salle Izzo. Vice-consul aux affaires économiques de Marseille, directeurs de Musée et de centre culturel Roumains, édiles frontignanais, étaient tous heureux de célébrer ces liens culturels destinés à mieux faire connaître la culture, les arts et la littérature des deux pays, dans chaque pays respectif. Des tentatives sont faites aussi pour développer le tourisme vert et les traditions culinaires mais les descendants de Decebal,des daces et des Romains sont quand même à 2500km de Frontignan, ce qui ne facilite pas forcément les déplacements.
Toutefois, les deux langues, latines, sont très proches et il se trouve même à Frontignan, une Roumain, qui s’échine à faire honneur à son pays depuis dix ans (après avoir bien contribué aux actions de Dacia depuis 1996) en travaillant d’arrache-pied pour la culture dans sa ville d’adoption et qui a même été une élève de la professeur d’université (décédée) Irina Mavrodin, citée ce vendredi soi à la salle Izzo.
Mais voilà, l’animatrice de Musc’art depuis quatre ans, aussi poétesse reconnue dans son pays, n’a pas la chance d’être reconnue dans les réseaux influents frontignanais bénéficiaires de subventions, son action étant sans doute jugée encore insuffisante au prorata de deux jours d’exposition tous les deux ans. Mais ce n’est qu’un détail qui n’étonnera surtout pas celles et ceux qui travaillent réellement, mais dans l’ombre et à l’écart de ces fameux « réseaux »….
Mais la frontignano-roumaine qui se bat pour son Musc’art, n’oublie pas son pays et sera encore présente ce samedi après-midi, pour un moment littéraire, ceux qu’elle préfère, à lasalle Izzo, à partir de 16h.