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Germaine, l’amie sétoise des diabétiques avait maintenu la petite tradition ce samedi 22 septembre : inviter un cercle d’amis, diabétiques, de l’Association Française des Diabétiques 34 sise à Montpellier, et d’autres, non adhérents, qui ont plaisir à tous se retrouver au jardin que Germaine possède entre vignes et salins à Frontignan.
Si la tradition a aussi été respectée en matière d’entrée du repas convivial qui était proposé, avec une superbe mouclade
, le plat principal n’était plus à base de couscous ou de paella, mais cette année de douceurs parfumées vietnamiennes soigneusement préparées par un couple expert en savoureux nems et nouilles de riz à la viande.
C’est dire si l’ambiance était bonne autour des tables ombragées sous les figuiers. Et cela a favorisé les conversations, qui ne pouvaient bien sûr pas éviter les petits aléas de la maladie, les matériels utilisés et les petits conseils et informations qui peuvent s’échanger entre ceux qui vivent le diabète au quotidien, qu’ils soient de type 1, insuliné, ou 2, autrement soigné. Mais tout cela n’a pas empêché de passer au dessert, à base de pâtisseries-pas trop sucrées- et de fruits, avec les derniers raisins du jardin.
Germaine, très présente auprès de ses amis.
Ce genre de retrouvailles annuelles trouvent toujours leur intérêt, dans cette cohésion que le groupe ressent dans le combat qu’il mène à la maladie le reste de l’année, en constatant les progrès considérables qui existent dans les équipements matériels et les traitements actuels et à venir du diabète. Et après les pompes sans tubulure (les « pods »), le substitut du pancréas artificiel est sur le point d’arriver, en étant accessible aux Type1, qui voient d’ailleurs les capteurs glycémiques remboursés maintenant sous certaines conditions.
De tels après-midis aident alors à supporter les petites misères du diabète et à entretenir l’espoir que tous ceux, de plus en plus nombreux , qui sont touchés, puissent bénéficier des bienfaits des nouveaux traitements.
Si la tradition a aussi été respectée en matière d’entrée du repas convivial qui était proposé, avec une superbe mouclade
, le plat principal n’était plus à base de couscous ou de paella, mais cette année de douceurs parfumées vietnamiennes soigneusement préparées par un couple expert en savoureux nems et nouilles de riz à la viande.
C’est dire si l’ambiance était bonne autour des tables ombragées sous les figuiers. Et cela a favorisé les conversations, qui ne pouvaient bien sûr pas éviter les petits aléas de la maladie, les matériels utilisés et les petits conseils et informations qui peuvent s’échanger entre ceux qui vivent le diabète au quotidien, qu’ils soient de type 1, insuliné, ou 2, autrement soigné. Mais tout cela n’a pas empêché de passer au dessert, à base de pâtisseries-pas trop sucrées- et de fruits, avec les derniers raisins du jardin.
Germaine, très présente auprès de ses amis.
Ce genre de retrouvailles annuelles trouvent toujours leur intérêt, dans cette cohésion que le groupe ressent dans le combat qu’il mène à la maladie le reste de l’année, en constatant les progrès considérables qui existent dans les équipements matériels et les traitements actuels et à venir du diabète. Et après les pompes sans tubulure (les « pods »), le substitut du pancréas artificiel est sur le point d’arriver, en étant accessible aux Type1, qui voient d’ailleurs les capteurs glycémiques remboursés maintenant sous certaines conditions.
De tels après-midis aident alors à supporter les petites misères du diabète et à entretenir l’espoir que tous ceux, de plus en plus nombreux , qui sont touchés, puissent bénéficier des bienfaits des nouveaux traitements.
