Mais que de monde devant la mairie de Frontignan, illuminée comme jamais, ce vendredi soir 7 décembre!
[url]
[/url]
[/url]
[/url][url]
[/url]
[/url]
Mais ce sera pour une prochaine fois, car ces rassemblements, sur le plan national, se déroulent chaque premier vendredi du mois, devant les mairies, à 18h30, à l’appel de Charlie Hebdo et de Greenpeace, ce qui a donné une association sur Paris, qui collecte les signatures de pétitions, lesquelles voudraient bien atteindre le chiffre de 5 millions d’ici deux ans.
[/url][url]
[/url]
L’opération qui a commencé en octobre avait attiré 8 personnes à Frontignan. « Avec 40 en décembre, il est permis d’espérer de continuer à convaincre » nous confie Dominique Amey, qui, d’origine paysanne et diplômé en phytosanitaire sait de quoi il parle en matière d’emploi de ces produits tueurs de nature.
Le rouge était donc mis à la boutonnière ce soir-là grâce à ces sympathiques petits coquelicots, symboles de santé pour une terre, violentée elle aussi par la négligence, l’inconscience et certains intérêts financiers toujours à l’affut, avec leurs lobbyistes.
[/url][url]
[/url]
Prochain rassemblement donc, devant la mairie de Frontignan, le vendredi 4 janvier, à 18h30, pour que le blé de la Ste Barbe frontignanais pousse, avec des coquelicots !
[/url]
[url]
[/url]
Une mairie toute pimpante, mais pour Noël!
[url][/url]
Des étoiles, des personnages rouges, des enfants, des familles, qui semblaient attendre quelque chose, de la petite musique joyeuse…mais nous cherchions des « coquelicots » dans cette foule, sans en trouver plus que cela…. Ces coquelicots anti pesticides, avaient donné rendez-vous sur la place de cette mairie décidément fort courtisée et se sont quand même retrouvés devant les commerces du parking de la boulangerie et du Vival.
[url][/url][url]
[/url]
Des petitions signées
[url][/url]
Un groupe de quelques unités puis d’une vingtaine et sans doute pas loin d’une quarantaine s’est formé autour de Dominique Amey, à l’origine de l’appel à manifester son opposition à l’emploi des pesticides dans l’agriculture et les jardins. Et si dans cette assistance on trouvait au moins ce que la municipalité comporte de sensibilités écologiques, comme Olivier Laurent et Loïc Linares, les jardiniers de la Graine et des jardins partagés, brillaient par leur absence.
[url]Mais ce sera pour une prochaine fois, car ces rassemblements, sur le plan national, se déroulent chaque premier vendredi du mois, devant les mairies, à 18h30, à l’appel de Charlie Hebdo et de Greenpeace, ce qui a donné une association sur Paris, qui collecte les signatures de pétitions, lesquelles voudraient bien atteindre le chiffre de 5 millions d’ici deux ans.
[/url][url]
[/url]
Dominique Amey, à gauche, se montre confiant
[url]L’opération qui a commencé en octobre avait attiré 8 personnes à Frontignan. « Avec 40 en décembre, il est permis d’espérer de continuer à convaincre » nous confie Dominique Amey, qui, d’origine paysanne et diplômé en phytosanitaire sait de quoi il parle en matière d’emploi de ces produits tueurs de nature.
Le rouge était donc mis à la boutonnière ce soir-là grâce à ces sympathiques petits coquelicots, symboles de santé pour une terre, violentée elle aussi par la négligence, l’inconscience et certains intérêts financiers toujours à l’affut, avec leurs lobbyistes.
[/url][url]
[/url]
Plus de 40 le 4 janvier?
[url]Prochain rassemblement donc, devant la mairie de Frontignan, le vendredi 4 janvier, à 18h30, pour que le blé de la Ste Barbe frontignanais pousse, avec des coquelicots !
[/url]