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L’association « Vivre la Terre » ( Michèle Fabre et Roger Ramel, responsables; tel 04 67 18 50 26) expose le travail de tous ses adhérents à la salle Izzo, avec ceux de l’atelier de Mireval et de Portiragnes, jusqu’au dimanche 7 octobre, où seront proclamés les prix attribués aux artistes désignés, par le public et par un jury, pour recevoir les distinctions habituelles.
Adultes, enfants, adultes handicapés, tout le monde a sa place dans cette riche exposition d’œuvres variées autant par la matière que par les techniques, le « raku », n’étant la moins remarquable par l’originalité du résultat.
Les adultes handicapés du foyer APEI de la Peyrade écarquillent les yeux depuis vendredi, jour du vernissage, devant leurs propres créations - et il y a de quoi – comme devant celles de ceux qui comme eux n’ont eu de cesse de pétrir, mouler, cuire, peindre les formes diverses qui se dressent sur les présentoirs.
« La petite chinoise » et « la poule » sont autant de réussites qui montrent, chez ces adultes qui ont travaillé comme les autres, les signes d’un talent à part qui ne s’impose aucune limite.
Globalement, la diversité est là et l’effet décoratif est atteint dans un tourbillon de couleurs fantaisistes quand il s’agit des enfants.
Le corps de la femme, la maternité, sont très épurés et réussis ; ils soulignent le rôle essentiel que jouent ces symboles dans la vie de chaque individu. D’autres thèmes sont tout aussi touchants de sincérité et d’application. Les divers jurys – le public peut voter pour son œuvre préférée – auront bien du mal à faire leurs choix !
Exposition visible à la salle Izzo jusqu’à ce dimanche 7 octobre.
Adultes, enfants, adultes handicapés, tout le monde a sa place dans cette riche exposition d’œuvres variées autant par la matière que par les techniques, le « raku », n’étant la moins remarquable par l’originalité du résultat.
Les adultes handicapés du foyer APEI de la Peyrade écarquillent les yeux depuis vendredi, jour du vernissage, devant leurs propres créations - et il y a de quoi – comme devant celles de ceux qui comme eux n’ont eu de cesse de pétrir, mouler, cuire, peindre les formes diverses qui se dressent sur les présentoirs.
« La petite chinoise » et « la poule » sont autant de réussites qui montrent, chez ces adultes qui ont travaillé comme les autres, les signes d’un talent à part qui ne s’impose aucune limite.
Globalement, la diversité est là et l’effet décoratif est atteint dans un tourbillon de couleurs fantaisistes quand il s’agit des enfants.
Le corps de la femme, la maternité, sont très épurés et réussis ; ils soulignent le rôle essentiel que jouent ces symboles dans la vie de chaque individu. D’autres thèmes sont tout aussi touchants de sincérité et d’application. Les divers jurys – le public peut voter pour son œuvre préférée – auront bien du mal à faire leurs choix !
Exposition visible à la salle Izzo jusqu’à ce dimanche 7 octobre.
