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Depuis le récent décès à 72 ans de Marcel Amat, tous les cyclistes des Cyclotouristes Frontignanais pleurent ce membre fondateur du club qui laisse une empreinte indélébile chez tous ceux qui l’ont connu.
Déjà bien engagé dans le sport en 1975, Marcel Amat participera à la création du club des Cyclotouristes Frontignanais en 1984, avec toute une vaillante équipe composée des Emile Journet, Emile Brunel, Michel Miralles, Bruno Di Marzo, le regretté Maurice Lalèque et Jean-Paul Vincent, l’un des piliers actuels du club, avec son président depuis 84, José Péris.
Marcel, en bas à droite, avec ses bons copains.
Jusqu’à sa maladie en 2005, Marcel a pratiqué le sport avec passion en imprimant surtout dans le vélo, un esprit qui en a marqué plus d’un. Capitaine de route reconnu et respecté par tous, Marcel était le compagnon assidu des entraînements et sorties où il conseillait les jeunes et aidait tout un chacun sur la route en Saint- Bernard du vélo qu’il était. Sa grande humanité n’avait d’égal que l’amour qu’il nourrissait pour la vie, les voyages et la danse.
Et dans les lavagnes (à droite), toujours entouré de ses compagnons cyclistes.
Membre d’honneur du club, il avait reçu en 2008, le diplôme du « Mérite Cyclotouriste » que le président Péris avait très justement tenu à lui remettre. C’est en quelque sorte « dans la roue » de ce bon samaritain du sport que tous ses amis continuent d’œuvrer au club frontignanais
Déjà bien engagé dans le sport en 1975, Marcel Amat participera à la création du club des Cyclotouristes Frontignanais en 1984, avec toute une vaillante équipe composée des Emile Journet, Emile Brunel, Michel Miralles, Bruno Di Marzo, le regretté Maurice Lalèque et Jean-Paul Vincent, l’un des piliers actuels du club, avec son président depuis 84, José Péris.
Marcel, en bas à droite, avec ses bons copains.
Jusqu’à sa maladie en 2005, Marcel a pratiqué le sport avec passion en imprimant surtout dans le vélo, un esprit qui en a marqué plus d’un. Capitaine de route reconnu et respecté par tous, Marcel était le compagnon assidu des entraînements et sorties où il conseillait les jeunes et aidait tout un chacun sur la route en Saint- Bernard du vélo qu’il était. Sa grande humanité n’avait d’égal que l’amour qu’il nourrissait pour la vie, les voyages et la danse.
Et dans les lavagnes (à droite), toujours entouré de ses compagnons cyclistes.Membre d’honneur du club, il avait reçu en 2008, le diplôme du « Mérite Cyclotouriste » que le président Péris avait très justement tenu à lui remettre. C’est en quelque sorte « dans la roue » de ce bon samaritain du sport que tous ses amis continuent d’œuvrer au club frontignanais
