Entendu à la radio ce matin, le cas d’un père divorcé et…diabétique, qui s’est vu refuser l’hébergement de son fils pendant un an et demi en raison de sa maladie qui aux dires de certains juges ne lui permettait pas d’accueillir son fils en toute sécurité, s’il tombait dans le coma la nuit. Ce père a fait appel et le jugement a été invalidé, les médecins étant heureusement venus à son secours pour dire qu’il n’y avait pas de problèmes.
Alors bien sûr qu’un diabétique vivant seul court des risques la nuit. Mais alors ce père, s’il est resté vivant pendant un an et demi, il a sûrement prouvé qu’il peut continuer, en gérant bien son diabète et en accueillant son fils. Il suffit de bien se contrôler au bon moment, avec le contrôleur de glycémie, bien connaître ses chiffres et ses rythmes et remédier comme il le faut, au bon moment, avant de se coucher et la nuit se passe bien., le remède miracle –mais chacun a le sien- étant le Nutella, oui, oui, qui à raison de une deux ou trois petites cuillers-sur du pain- sur le coup de 22-23h permet de tenir la nuit et de se réveiller avec des chiffres normaux, s’il y a baisse de la glycémie la nuit, quelle que soit l’insuline du soir.
Voilà comment la justice peut se révéler parfois…juste, quand on peut la convaincre du bien fondé du cas en question, et comment le diabète , encore une fois, n’est pas une maladie si handicapante que cela qui mérite toutes les tracasseries de la justice, des assurances et autres banques….
Alors bien sûr qu’un diabétique vivant seul court des risques la nuit. Mais alors ce père, s’il est resté vivant pendant un an et demi, il a sûrement prouvé qu’il peut continuer, en gérant bien son diabète et en accueillant son fils. Il suffit de bien se contrôler au bon moment, avec le contrôleur de glycémie, bien connaître ses chiffres et ses rythmes et remédier comme il le faut, au bon moment, avant de se coucher et la nuit se passe bien., le remède miracle –mais chacun a le sien- étant le Nutella, oui, oui, qui à raison de une deux ou trois petites cuillers-sur du pain- sur le coup de 22-23h permet de tenir la nuit et de se réveiller avec des chiffres normaux, s’il y a baisse de la glycémie la nuit, quelle que soit l’insuline du soir.
Voilà comment la justice peut se révéler parfois…juste, quand on peut la convaincre du bien fondé du cas en question, et comment le diabète , encore une fois, n’est pas une maladie si handicapante que cela qui mérite toutes les tracasseries de la justice, des assurances et autres banques….