Nous assistons à l’ouverture « tapageuse » de la route à midi pile, alors que nous embarquons une concurrente , à bout, à 2km du sommet. Voitures, motos, arrivent en flots, les cyclistes ayant déjà inondé la route depuis longtemps. Les deux ou trois derniers coureurs seront invités par la police municipale à s’arrêter, puisqu’ « on ne peut plus assurer votre sécurité ». Il reste 500m à faire pour un ou deux
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avec le sommet en vue pour eux. Il est aux alentours de midi
Sans dossard, ça le fait… On n’a peut-être pas pris leur temps, mais sans crampes, j’étais avec eux et j’aurais fini en moins de 4h, à ma grande satisfaction.
Ambiance de kermesse au sommet. Récupération du sac, sans problème. Et ravitaillement monumental, même si la charcuterie au soleil, bof !!! J’erre quelques instants dans l’attente des navettes. Je vois le classement et le temps de mon neveu : 88è en 2h12mn. Super !! Le chauffeur de la voiture-balai, qui redescend, me voit et me demande si je veux monter. Je suis le 9è dans le fourgon et nous redescendons alors, pour sentir les plaquettes de freins quelque peu chauffer un peu plus bas !!!!
Retrouvailles familiales au village. La jambe douloureuse, mais même pas fatigué et 3g de glycémie. Normal, avec le sucre absorbé et les « non- efforts » faits ! Dernier petit repas au même restau, avec beau-frère et neveu, qui eux restent à la remise des prix. Nous, il nous faut rejoindre Frontignan, où nous serons à 18h, après avoir pesté contre les mauvaises indications sur les A7-A9, Orange, Avignon etc…mais à part notre chat à nous, civilisé, mais pas content de notre absence, tout est bien, qui finit bien !
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avec le sommet en vue pour eux. Il est aux alentours de midi
Sans dossard, ça le fait… On n’a peut-être pas pris leur temps, mais sans crampes, j’étais avec eux et j’aurais fini en moins de 4h, à ma grande satisfaction.
Ambiance de kermesse au sommet. Récupération du sac, sans problème. Et ravitaillement monumental, même si la charcuterie au soleil, bof !!! J’erre quelques instants dans l’attente des navettes. Je vois le classement et le temps de mon neveu : 88è en 2h12mn. Super !! Le chauffeur de la voiture-balai, qui redescend, me voit et me demande si je veux monter. Je suis le 9è dans le fourgon et nous redescendons alors, pour sentir les plaquettes de freins quelque peu chauffer un peu plus bas !!!!
Retrouvailles familiales au village. La jambe douloureuse, mais même pas fatigué et 3g de glycémie. Normal, avec le sucre absorbé et les « non- efforts » faits ! Dernier petit repas au même restau, avec beau-frère et neveu, qui eux restent à la remise des prix. Nous, il nous faut rejoindre Frontignan, où nous serons à 18h, après avoir pesté contre les mauvaises indications sur les A7-A9, Orange, Avignon etc…mais à part notre chat à nous, civilisé, mais pas content de notre absence, tout est bien, qui finit bien !