Les petits dîners en ville ne sont pas si fréquents. C’est ce qui leur donne peut-être toute leur valeur. Et pour ceux qui pensent « qu’on en apprend tous les jours », je pense que ça ne fera de mal à personne de rapporter ici deux ou trois petites anecdotes recueillies récemment.
D’abord entendu d’un fin connaisseur de l’histoire de Frontignan et de Sète : avant la création de Sète, la Pointe Courte faisait partie de la Peyrade et de Frontignan donc. Le détail, livré à un « vrai Sétois » l’a fait bondir d’indignation et d’incrédulité. Quelques temps après avoir recueilli ce morceau d’histoire, le Sétois retrouve son informateur (frontignanais, évidemment) et lui avoue : « T’avais raison. Je me suis renseigné. C’est bien vrai » !
Ce même frontignanais, ancien footballeur à Montpellier, en était parti avec disons une petite somme d’argent non réglée par le club. Quelques années plus tard, il se retrouve aux côtés de Louis Nicollin, qui le reconnaît et lui dit : « Mais je te dois pas du fric à toi ? » L’ancien joueur avait fait une croix là-dessus depuis longtemps. Et Louis Nicollin, de sortir son carnet de chèques et de régler « sa dette » sur le champ !
Ca tombait bien car à la même table, ce soir-là, se trouvait un fin connaisseur du bonhomme Nicollin. Et de découvrir un côté je crois d’autant moins connu, que Loulou ne fait absolument rien pour que ça se sache, tellement il fait ce qu’il fait, dans l’ombre et la discrétion. D’abord, le cœur sur la main, Loulou le prouve, paraît-il, en toute occasion, non seulement quand il faut apporter ce qu’il faut à « son » club de foot, mais aussi quand il faut aider des enfants défavorisés ou de proches amis ayant quelques soucis financiers pour de bonnes causes.
Enfin, ce que je ne savais pas c’est la formidable passion de la collection d’objets sportifs qui anime Louis Nicollin et qu’il montre – mais pas à tout le monde- dans son mas Saint-Gabriel. Là, paraît-il, se trouvent des milliers de maillots de footballeurs de renom international (Matthews, Georges Best…) des tenues de Platini, des maillots jaunes du Tour de France, des vélos de vainqueurs, une combinaison d’Alain Prost….tout ceci réparti, classé, monté sur des mannequins, sur plusieurs étages au « Mas ».
Une des dernières acquisitions de Loulou : la tenue blanche complète, déchirée, intacte, tachée de sang, d’Aurélien Evangelisti, le récent vainqueur de la Saint-Louis 2011 à Sète. Parfois il paye pour, mais souvent il demande et bien sûr, obtient satisfaction, pour alimenter ce véritable musée d’une incroyable richesse, paraît-il.
Alors, le Loulou, grande gu…. ?! Oui, peut-être mais un sacré bonhomme et avec un sacré cœur. Ca fait plaisir à entendre et pourrait un peu corriger notre opinion sur les riches, en général.
D’abord entendu d’un fin connaisseur de l’histoire de Frontignan et de Sète : avant la création de Sète, la Pointe Courte faisait partie de la Peyrade et de Frontignan donc. Le détail, livré à un « vrai Sétois » l’a fait bondir d’indignation et d’incrédulité. Quelques temps après avoir recueilli ce morceau d’histoire, le Sétois retrouve son informateur (frontignanais, évidemment) et lui avoue : « T’avais raison. Je me suis renseigné. C’est bien vrai » !
Ce même frontignanais, ancien footballeur à Montpellier, en était parti avec disons une petite somme d’argent non réglée par le club. Quelques années plus tard, il se retrouve aux côtés de Louis Nicollin, qui le reconnaît et lui dit : « Mais je te dois pas du fric à toi ? » L’ancien joueur avait fait une croix là-dessus depuis longtemps. Et Louis Nicollin, de sortir son carnet de chèques et de régler « sa dette » sur le champ !
Ca tombait bien car à la même table, ce soir-là, se trouvait un fin connaisseur du bonhomme Nicollin. Et de découvrir un côté je crois d’autant moins connu, que Loulou ne fait absolument rien pour que ça se sache, tellement il fait ce qu’il fait, dans l’ombre et la discrétion. D’abord, le cœur sur la main, Loulou le prouve, paraît-il, en toute occasion, non seulement quand il faut apporter ce qu’il faut à « son » club de foot, mais aussi quand il faut aider des enfants défavorisés ou de proches amis ayant quelques soucis financiers pour de bonnes causes.
Enfin, ce que je ne savais pas c’est la formidable passion de la collection d’objets sportifs qui anime Louis Nicollin et qu’il montre – mais pas à tout le monde- dans son mas Saint-Gabriel. Là, paraît-il, se trouvent des milliers de maillots de footballeurs de renom international (Matthews, Georges Best…) des tenues de Platini, des maillots jaunes du Tour de France, des vélos de vainqueurs, une combinaison d’Alain Prost….tout ceci réparti, classé, monté sur des mannequins, sur plusieurs étages au « Mas ».
Une des dernières acquisitions de Loulou : la tenue blanche complète, déchirée, intacte, tachée de sang, d’Aurélien Evangelisti, le récent vainqueur de la Saint-Louis 2011 à Sète. Parfois il paye pour, mais souvent il demande et bien sûr, obtient satisfaction, pour alimenter ce véritable musée d’une incroyable richesse, paraît-il.
Alors, le Loulou, grande gu…. ?! Oui, peut-être mais un sacré bonhomme et avec un sacré cœur. Ca fait plaisir à entendre et pourrait un peu corriger notre opinion sur les riches, en général.