J'arrive dans un bureau de vote hier. Je regarde à gauche:une dame (que je ne connais pas),assise, comptabilise les passages, je crois, avec des petits bâtons. Je lui dis bonjour, clairement, directement. Sous le coup de la surprise, je crois, elle ne daigne pas me répondre. Le temps de me dire "elle me répondra demain, après les résultats?",je me tourne vers la droite pour présenter les cartes et prendre l'enveloppe. Je dis bonjour. On me répond. Ouf!
Il y a quand même des gens,en contact avec le public, qui font le minimum, pour la tâche qu'on ne leur a pas imposée, que je sache. Et à Frontignan, on ne salue que ceux que l'on connaît? Je croyais le contraire. Sur la route, avec les cyclistes, dans la Gardiole, quand je cours, bien des personnes me saluent ou me répondent quand je les croise. Et je ne les connais pas pourtant. D'autres lieux, d'autres moeurs?
Il y a quand même des gens,en contact avec le public, qui font le minimum, pour la tâche qu'on ne leur a pas imposée, que je sache. Et à Frontignan, on ne salue que ceux que l'on connaît? Je croyais le contraire. Sur la route, avec les cyclistes, dans la Gardiole, quand je cours, bien des personnes me saluent ou me répondent quand je les croise. Et je ne les connais pas pourtant. D'autres lieux, d'autres moeurs?