Actualités
Après la Bourse aux collectionneurs et avant le film du soir au Cinémistral (« It’s a free world », un époustouflant Ken Loach !), un passage au centre culturel F.Villon, où l’Orchestre de l’Ecole de Musique Municipale donnait, hier dimanche à 16h, après vendredi 8, son deuxième concert, public et gratuit.
La salle est pleine à 90% et bien sûr il y a bien une place non occupée en bordure de rang devant mais le jeune type, très convivial (!) s’empresse de mettre une veste de survêt sur la chaise, pour éviter le voisinage….Coup classique. J’ai failli m’installer de force, plus d’une fois, mais imaginons la suite….. Pas mon genre à moi…Et puis je voulais prendre des photos. Alors, je suis resté debout presque une heure…. !
Le noir habituel, couleur de la salle, est toujours là ! Les instruments et leurs machinerie de sono sont éclairés par des projecteurs de couleurs. Dans la salle on n’y voit goutte- habitude à prendre !- et les retardataires ont du mal à se repérer les uns les autres.
Un batteur et un guitariste commencent à jouer. C’est déjà fort. Puis une voix d’outre-tombe, à la sono, présente le concert. Un gag ou une sono bizarre… ?!
Puis les autres musiciens arrivent à la queue leu-leu après un instant, s’installent et jouent : 5 saxos altos dont 4 jeunes filles, 2 sax- ténors, 1 tromboniste, 3 flûtistes, 1 guitariste et une basse,un claver, 1 batteur, des congas et un peu après, deux chanteuses. L’ensemble est séduisant et consistant.
Et d’apprendre de la bouche de Georges Di Isernia, à la baguette, que le morceau d’introduction très jazzy est un premier morceau de composition (dont le titre vient du nom d’un virus d’internet !) et que les musiciens donc, sont des élèves, oui, mais combien et lesquels, on ne le saura jamais. Par contre on trouve des professeurs de l’Ecole de Frontignan (dont une jeune flûtiste, située, elle), eux-mêmes renforcés par des professeurs de l’Ecole de St Martin de Londres.
Et le programme continue, avec « Summertime » de Gerschwin, et une chanteuse, ma foi, claire et juste. Revu et rythmé, le morceau souffre de quelques déséquilibres entre les percus et les cuivres. Beaucoup de forte, peu de nuances, je trouve ; mais c’est peut-être ma position debout, près de baffles …
Un sax ténor- sûrement pas un jeune élève- se lève pour sortir un solo d’impro sur le thème, accompagné du clavier. Quelques instants de douceur, enfin ! Applaudis comme il se doit, bien sûr !
Un autre moment de douceur avec la professeur de flûte et des rythmes africains. Et un morceau très moderne et très musique de film avec une sono de nouveau très appuyée, plus les lumières : on n’est pas loin de l’ambiance boîte de nuit. Ca ne peut que plaire…
Une nouvelle parenthèse pour dire que beaucoup de morceaux sont composés et adaptés pour les élèves (combien sont-ils…. ?) et qu’un projet ( ?) verra le jour à la rentrée prochaine de septembre.
Un morceau pour les chanteuses, accompagnées, avant une nouvelle sympathique parenthèse pour souhaiter un bon anniversaire à l’une des flûtistes, prénommée Cécile, anniversaire qui aurait pu être complet en disant que cette jeune fille avait la chance de porter le même prénom que la patronne des musiciens….! Mais la Ste Cécile, chère à tous les musiciens d’harmonies et fanfares de France est peut-être encore une tradition qui se perd….Vu qu’il n’y a pas à ce jour, à Frontignan, à ma connaissance, ce genre de société constituée….avec les élèves de l’Ecole de Musique municipale. Lesquels peuvent prendre du plaisir, n’en doutons pas, à jouer ce qu’ils jouent à l’Ecole. Il n’empêche, faute d’Harmonie, un vrai orchestre uniquement composé d’élèves, même peu aguerris, avec tous les défauts des débutants, renforcés….par des amateurs de Frontignan à d’autres pupitres ( et je sais qu’il y en a !) ça aurait ça aussi, son charme, et sa valeur. Les professeurs ont produit ce dimanche un bon spectacle, mais ce n’était que des profs, en grande majorité. Bravo à eux et à la justification de leur travail mais j’attendais autre chose….
Un public satisfait, venu en connaissance de cause
La salle est pleine à 90% et bien sûr il y a bien une place non occupée en bordure de rang devant mais le jeune type, très convivial (!) s’empresse de mettre une veste de survêt sur la chaise, pour éviter le voisinage….Coup classique. J’ai failli m’installer de force, plus d’une fois, mais imaginons la suite….. Pas mon genre à moi…Et puis je voulais prendre des photos. Alors, je suis resté debout presque une heure…. !
Le noir habituel, couleur de la salle, est toujours là ! Les instruments et leurs machinerie de sono sont éclairés par des projecteurs de couleurs. Dans la salle on n’y voit goutte- habitude à prendre !- et les retardataires ont du mal à se repérer les uns les autres.
Un batteur et un guitariste commencent à jouer. C’est déjà fort. Puis une voix d’outre-tombe, à la sono, présente le concert. Un gag ou une sono bizarre… ?!
Puis les autres musiciens arrivent à la queue leu-leu après un instant, s’installent et jouent : 5 saxos altos dont 4 jeunes filles, 2 sax- ténors, 1 tromboniste, 3 flûtistes, 1 guitariste et une basse,un claver, 1 batteur, des congas et un peu après, deux chanteuses. L’ensemble est séduisant et consistant.
Et d’apprendre de la bouche de Georges Di Isernia, à la baguette, que le morceau d’introduction très jazzy est un premier morceau de composition (dont le titre vient du nom d’un virus d’internet !) et que les musiciens donc, sont des élèves, oui, mais combien et lesquels, on ne le saura jamais. Par contre on trouve des professeurs de l’Ecole de Frontignan (dont une jeune flûtiste, située, elle), eux-mêmes renforcés par des professeurs de l’Ecole de St Martin de Londres.
Et le programme continue, avec « Summertime » de Gerschwin, et une chanteuse, ma foi, claire et juste. Revu et rythmé, le morceau souffre de quelques déséquilibres entre les percus et les cuivres. Beaucoup de forte, peu de nuances, je trouve ; mais c’est peut-être ma position debout, près de baffles …
Un sax ténor- sûrement pas un jeune élève- se lève pour sortir un solo d’impro sur le thème, accompagné du clavier. Quelques instants de douceur, enfin ! Applaudis comme il se doit, bien sûr !
Un autre moment de douceur avec la professeur de flûte et des rythmes africains. Et un morceau très moderne et très musique de film avec une sono de nouveau très appuyée, plus les lumières : on n’est pas loin de l’ambiance boîte de nuit. Ca ne peut que plaire…
Une nouvelle parenthèse pour dire que beaucoup de morceaux sont composés et adaptés pour les élèves (combien sont-ils…. ?) et qu’un projet ( ?) verra le jour à la rentrée prochaine de septembre.
Un morceau pour les chanteuses, accompagnées, avant une nouvelle sympathique parenthèse pour souhaiter un bon anniversaire à l’une des flûtistes, prénommée Cécile, anniversaire qui aurait pu être complet en disant que cette jeune fille avait la chance de porter le même prénom que la patronne des musiciens….! Mais la Ste Cécile, chère à tous les musiciens d’harmonies et fanfares de France est peut-être encore une tradition qui se perd….Vu qu’il n’y a pas à ce jour, à Frontignan, à ma connaissance, ce genre de société constituée….avec les élèves de l’Ecole de Musique municipale. Lesquels peuvent prendre du plaisir, n’en doutons pas, à jouer ce qu’ils jouent à l’Ecole. Il n’empêche, faute d’Harmonie, un vrai orchestre uniquement composé d’élèves, même peu aguerris, avec tous les défauts des débutants, renforcés….par des amateurs de Frontignan à d’autres pupitres ( et je sais qu’il y en a !) ça aurait ça aussi, son charme, et sa valeur. Les professeurs ont produit ce dimanche un bon spectacle, mais ce n’était que des profs, en grande majorité. Bravo à eux et à la justification de leur travail mais j’attendais autre chose….
Un public satisfait, venu en connaissance de cause
