Si l’atelier de recherche en généalogie a attiré quelque 30 personnes de 14h30 à 17h, ce premier lundi de Semaine Bleue, la grande salle de la Maison des Seniors s’est remplie en fin d’après-midi pour la venue de Léopoldine Dufour, une « voix » de Radio France Bleu Hérault qui anime les après-midi de la radio et qui a tout de suite eu un visage, présentée qu’elle a été par Alain Combes avant qu’elle ne prenne la parole, devant son outil de travail quotidien le micro !
![Autres temps, autres moeurs, avec Léopoldine Dufour Semain12](https://i.servimg.com/u/f17/11/31/00/15/semain12.jpg)
Alain Combes présente Léopoldine Dufour, au centre, qui va raconter ses petites histoires. ( à droite, Mme Maire,directrice du CCAS)
Auteur des « Petites histoires de Léopoldine : Hérault », paru aux éditions Domens en 2006 et qu’on peut trouver chez Sauramps, notre animatrice radio s’est vite présentée comme une amoureuse de notre région, après en avoir épousé l’un de ses fils et avoir eu l’occasion à Radio France Bleu Hérault de faire vivre – et avec quel succès !- une rubrique orientée vers le patrimoine culturel et humain de l’Hérault.
De par ses contacts divers et son intérêt pour les gens d’ici, qui n’ont pas manqué, par leurs envois d’histoires vraies et vécues, d’alimenter sa rubrique radiophonique, Léopoldine a considérablement enrichi ses acquis et en a fait ce recueil de « petites histoires », qu’elle s’est empressée de faire revivre aux oreilles de son public de lundi, tout ouïe vraiment, car séduit non seulement par le charme d’une voix bien connue, mais par une personnalité des plus attachantes assurément.
Après avoir commencé par l’histoire de « la moto d’Eugène », Léopoldine a poursuivi avec celle de « la baleine des Cévennes », celle plus proche , géographiquement, des supporteurs des équipes de football de Montpellier et de Sète du café de Vic la Gardiole, celle des paillotes des Aresquiers et celle du « Mayflower » en particulier ou celle du catalogue de graines Vilmorin…autant de parcelles d’un passé aujourd’hui disparu mais oh combien savoureux ,et dont certains d’entre nous, les plus âgés alors, gardent toujours ces petits morceaux de racines nostalgiques d’une vie qui a perdu bien de ses charmes, que ce soit la convivialité ou les parfums de « la bonne bouffe » à base de rascasse et autres produits de la terre ou de la mer.
Ne possédant aucune « histoire de Frontignan », comme elle l’a dit–et c’est plutôt curieux, car nous savons que Frontignan possède tout autant d’histoires de ce passé proche des lendemains de guerre, plus ou moins dramatiques ou cocasses parfois – Léopoldine a très justement fait appel à ses auditeurs locaux actuels ou à venir, pour que nous lui envoyions ces bribes populaires qui font la saveur patrimoniale d’un passé, sur lequel se construit notre avenir commun, ceci avant de dédicacer ses ouvrages lundi soir.
![Autres temps, autres moeurs, avec Léopoldine Dufour Semain12](https://i.servimg.com/u/f17/11/31/00/15/semain12.jpg)
Alain Combes présente Léopoldine Dufour, au centre, qui va raconter ses petites histoires. ( à droite, Mme Maire,directrice du CCAS)
Auteur des « Petites histoires de Léopoldine : Hérault », paru aux éditions Domens en 2006 et qu’on peut trouver chez Sauramps, notre animatrice radio s’est vite présentée comme une amoureuse de notre région, après en avoir épousé l’un de ses fils et avoir eu l’occasion à Radio France Bleu Hérault de faire vivre – et avec quel succès !- une rubrique orientée vers le patrimoine culturel et humain de l’Hérault.
De par ses contacts divers et son intérêt pour les gens d’ici, qui n’ont pas manqué, par leurs envois d’histoires vraies et vécues, d’alimenter sa rubrique radiophonique, Léopoldine a considérablement enrichi ses acquis et en a fait ce recueil de « petites histoires », qu’elle s’est empressée de faire revivre aux oreilles de son public de lundi, tout ouïe vraiment, car séduit non seulement par le charme d’une voix bien connue, mais par une personnalité des plus attachantes assurément.
Après avoir commencé par l’histoire de « la moto d’Eugène », Léopoldine a poursuivi avec celle de « la baleine des Cévennes », celle plus proche , géographiquement, des supporteurs des équipes de football de Montpellier et de Sète du café de Vic la Gardiole, celle des paillotes des Aresquiers et celle du « Mayflower » en particulier ou celle du catalogue de graines Vilmorin…autant de parcelles d’un passé aujourd’hui disparu mais oh combien savoureux ,et dont certains d’entre nous, les plus âgés alors, gardent toujours ces petits morceaux de racines nostalgiques d’une vie qui a perdu bien de ses charmes, que ce soit la convivialité ou les parfums de « la bonne bouffe » à base de rascasse et autres produits de la terre ou de la mer.
Ne possédant aucune « histoire de Frontignan », comme elle l’a dit–et c’est plutôt curieux, car nous savons que Frontignan possède tout autant d’histoires de ce passé proche des lendemains de guerre, plus ou moins dramatiques ou cocasses parfois – Léopoldine a très justement fait appel à ses auditeurs locaux actuels ou à venir, pour que nous lui envoyions ces bribes populaires qui font la saveur patrimoniale d’un passé, sur lequel se construit notre avenir commun, ceci avant de dédicacer ses ouvrages lundi soir.